- 05 mai 2010, 19:06
#37105
Voici les confidences téléphoniques d'une femme infidèle. Du rêve et pas mal de réalité...
Bonsoir Sophie. Alors tu n'as pas eu peur de m'appeler ?
Peur? Non. Pourquoi, je devrais? Ca m'amuse et toi ça t'excite, je suppose
Ainsi-tu trompes ton mari ?
Oui et non.
Comment ça ?
J'ai des aventures avec d'autres hommes, mais je ne lui cache pas.
Souvent ?
Assez, oui.
Et il l'accepte ?
C'est lui qui, au début, m'a poussée vers d'autres hommes. Ça ne s'est pas arrêté là où il croyait.
Il n’est pas jaloux ?
Il me dit que non, mais je crois bien qu’il l’est un peu.
Comment cela s'est passé, au début ?
C'était pendant les vacances, il y a deux ans. Nous étions assez proche sur le plan sexuel pendant cette période et nous avons parlé de nos fantasmes. C'est là qu'il m'a parlé pour la première fois de son désir de me voir avec un autre homme.
Que t'a-t-il proposé ?
Rien directement. Il m’a seulement dit qu’il avait plaisir à m’imaginer me rendant avec lui un soir dans une boîte, habillée très sexy. Dans son fantasme, j’allumais les hommes qui me plaisaient. Lui était là, mais comme s'il ne me connaissait pas. Lorsque je trouvais un homme qui me plaisait vraiment, je devais le vamper à mort et j'avais carte blanche pour la suite. Si je voulais, il aimerait voir.
Tu as réagi comment ?
Je lui ai dit que je me doutais qu’il aimait que je provoque le désir d’autres hommes. Dès que nous sortons, il me pousse toujours à porter des tenues suggestives. Mes jupes ne sont jamais assez courtes ou mes seins assez moulés ! Mais, de là à me voir faire l’amour avec un autre, il y a un grand pas. Je lui ai demandé s’il serait sûr de le supporter.
Et alors ?
Il m’a répondu que son désir était si fort qu’il surpasserait ses éventuelles réactions de jalousie.
Et toi, cette idée te plaisait ?
Plus qu’il ne pouvait l’imaginer. Pour tout te dire, nous étions ensemble depuis plus de trois ans et je me lassais un peu de notre façon de faire l’amour par trop routinière. J’étais bien avec lui dans beaucoup de domaines, mais il m’arrivait de plus en plus souvent d’avoir envie de quelque chose de plus fort sur le plan sexuel. Tu te doutes que je me fais souvent draguer. A cette époque, j’étais souvent troublée lorsque des hommes me faisaient des avances. J’aimais minauder avec eux avant de les éconduire au nom de la fidélité conjugale. Mais après, je continuais à penser à eux. Je m’imaginais faisant l’amour.
Et tu l'as fait ?
Oui, nous l'avons fait. Nous étions très proche à ce moment et c'était un jeu qui se promettait d'être agréable. Nous étions très excités en le mettant au point. Et un soir nous y sommes allés. Il faisait très chaud. J'avais choisi avec lui une petite robe blanche à bretelles très légère et très très courte et des chaussures dorées à talons.
Tu étais nue dessous?
Non, je portais une toute petite culotte blanche. Par contre, mes seins étaient libres et très provocants sous ma robe.
Comment cela s'est-il passé dans la boîte?
Nous sommes entrés séparément comme si nous ne nous connaissions pas. Il y avait du monde. Je suis vite allée sur la piste pour danser. Pas mal de mecs me regardaient et plus ils me regardaient, plus je bougeais. Quand sont venues des danses plus "intimes", je n'ai eu que l'embarras du choix. J'ai fait traîner les choses, donner des signes de disponibilité à plusieurs.
Tu dansais serrée, serrée?
Pour ça oui ! Et tu sais, dans cette situation, les mecs ont du mal à cacher ce qu'ils ressentent (rire). Il y en avait deux particulièrement "virils" lorsqu'ils me tenaient dans leurs bras. Moi, je ne faisais rien pour calmer le jeu, au contraire. De temps en temps je croisais le regard de mon mari qui se doutait de la situation.
Et alors ?
J'ai accepté de boire un verre avec le plus grand. Il s'appelait Gilles et était super beau. Il m'a sérieusement draguée. Je n'étais pas insensible à son charme. Il était très masculin, tu vois, très sûr de lui. Nous sommes retournés danser. C'était très rythmé, et je bougeais pour lui. Je savais que mes seins se balançaient, que mes hanches provoquaient, que ma robe n'était pas assez longue pour cacher mes cuisses bronzées et que de temps en temps elle remontait bien trop haut... Bref il était fasciné.
La musique a ensuite changé de rythme ?
Bien sûr... C'est la règle dans ce genre de boite. Alors là, je ne le tenais plus. Il m'aurait fait l'amour sur la piste. Ses mains étaient partout sur moi et je sentais son sexe si dur et si gros contre moi. Je fondais. A un moment il a fait glisser la bretelle de ma robe et me caressait carrément un sein dénudé. Heureusement qu'autour de nous ça chauffait aussi !
Et quand la musique s'est arrêtée ?
On s'embrassait sans aucune retenue. La piste s'est vidée, il m'a prise par la main et m'a entraînée à l'écart. On s'est retrouvé dans un coin sombre où il n'y avait que des couples qui, comme nous, recherchaient un peu d'intimité.
Là, je suppose que vous n'avez pas été sages ?
Pas vraiment, non. Il a recommencé à m'embrasser et à me caresser. J'étais bien. Je me suis vite trouvée à nouveau avec un sein à l'air. Il l'a porté à sa bouche. Ses mains étaient partout. Elles se sont faites plus insistantes sous ma robe, je sentais avec délice ses doigts à travers le coton humide de ma culotte. J'espérais que mon mari pouvait me voir ainsi abandonnée. Nous nous sommes laisser aller comme ça pendant un long moment. Durant ces étreintes ma main s'est retrouvée posée sur la bosse que faisait son sexe. Ca m'a fait comme un choc et je me suis mise à mouiller terriblement. Je palpais son sexe à travers son pantalon, pensant que s'il était dans cet état c'était pour moi... Cette caresse ne l'empêchait pas d'être de plus en plus entreprenant et un de ses doigts s'est glissé en moi, titillant avec habileté mon petit bouton. Son geste se faisait plus précis, plus rapide et moi je me laissais aller sans retenue. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, tout ce dont je me souviens c'est que mon ventre s'est embrasé et que je me suis mise à jouir. J'ai dû crier car il m'a donné son doigt à mordre. Je suis revenue à moi doucement, sur son épaule, en me laissant câliner comme un bébé.
Et après ?
Je suis restée un long moment dans cette position. La musique était loin, j'étais si bien. Je me suis aperçue que ma main droite était crispée sur son sexe toujours aussi dur. Il ne m'avait pas accompagnée. Un peu gênée, j'ai regardé autour de moi. Juste en face, à l'ombre d'un pilier, j'ai croisé le regard de mon mari. Il était apparemment le seul à s'être aperçu de nos caresses. Cela m'a fait sourire. Revenue tout à fait sur terre, je me suis excusée auprès de Gilles et me suis dirigée vers les toilettes. Je titubais un peu. Je sentais ma culotte trempée entres mes cuisses et j'avais l'impression que tout ceux qui me regardaient se rendaient compte de mon état!
Et ton mari ?
Il m'a suivi. Je me suis enfermée dans les WC avant qu’il me rejoigne. J’ai retiré complètement ma culotte l’ai glissée dans ma pochette, fait un petit pipi et suis ressortie sans rien sous ma robe. Je l'ai retrouvé dans le couloir. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée et m'a demandé si j'étais bien. Lui aussi était terriblement excité. Je lui ai dit que oui. Il m'a alors demandé si je voulais continuer et j'ai répondu que j'en avais très envie. Alors j’ai fait un truc que je savais fatal pour lui. Je lui ai donné ma culotte en lui disant que je n’en avais plus besoin pour ce que j’allais faire ! Il l'a portée à ses lèvres et a voulu m’attirer à lui. Je lui ai dit "tu l'as voulu" et me suis échappée.
Pour retrouver Gilles ?
Oui, bien sûr. Il m'attendait.
Qu'avez-vous fait alors ?
Il m'a regardée m'approcher. Son regard était toujours aussi brillant... Il s'est levé, m'a enlacée et longuement embrassée. Puis il m'a à nouveau entraînée sur la piste.
Vous avez à nouveau dansé ?
Oui. C'était une série très douce. Je me suis retrouvée collée à lui, sentant à nouveau son désir contre moi. La piste était devenue très sombre et les couples autour de nous n'étaient pas plus sages que nous. Il me serrait, me murmurait des mots gentils. Son attitude a changé quand il a glissé sa main sous ma robe, en remontant lentement le long de ma cuisse. Il s'est aperçu que je n'avais plus de culotte, a rapidement vérifié que rien ne protégeait mon intimité. Sa main a enveloppé ma chatte trempée et il a dit, je m'en souviens parfaitement tant c'était intense "tu es une sacrée salope toi !". Ca venait du fond du cœur !
Vous êtes restés comme ça longtemps ?
Non, on en pouvait plus tous les deux. Il m'a dit "si on sortait". Et, sans me laisser le temps de répondre, il m'a entraînée. Nous sommes sortis de la boîte. Il faisait un peu frais dehors, mais mon cavalier me serrait si fort que je ne m'en rendais presque pas compte. On s'est éloigné vers la plage.
Tu savais que tu allais y passer ?
Bonsoir Sophie. Alors tu n'as pas eu peur de m'appeler ?
Peur? Non. Pourquoi, je devrais? Ca m'amuse et toi ça t'excite, je suppose
Ainsi-tu trompes ton mari ?
Oui et non.
Comment ça ?
J'ai des aventures avec d'autres hommes, mais je ne lui cache pas.
Souvent ?
Assez, oui.
Et il l'accepte ?
C'est lui qui, au début, m'a poussée vers d'autres hommes. Ça ne s'est pas arrêté là où il croyait.
Il n’est pas jaloux ?
Il me dit que non, mais je crois bien qu’il l’est un peu.
Comment cela s'est passé, au début ?
C'était pendant les vacances, il y a deux ans. Nous étions assez proche sur le plan sexuel pendant cette période et nous avons parlé de nos fantasmes. C'est là qu'il m'a parlé pour la première fois de son désir de me voir avec un autre homme.
Que t'a-t-il proposé ?
Rien directement. Il m’a seulement dit qu’il avait plaisir à m’imaginer me rendant avec lui un soir dans une boîte, habillée très sexy. Dans son fantasme, j’allumais les hommes qui me plaisaient. Lui était là, mais comme s'il ne me connaissait pas. Lorsque je trouvais un homme qui me plaisait vraiment, je devais le vamper à mort et j'avais carte blanche pour la suite. Si je voulais, il aimerait voir.
Tu as réagi comment ?
Je lui ai dit que je me doutais qu’il aimait que je provoque le désir d’autres hommes. Dès que nous sortons, il me pousse toujours à porter des tenues suggestives. Mes jupes ne sont jamais assez courtes ou mes seins assez moulés ! Mais, de là à me voir faire l’amour avec un autre, il y a un grand pas. Je lui ai demandé s’il serait sûr de le supporter.
Et alors ?
Il m’a répondu que son désir était si fort qu’il surpasserait ses éventuelles réactions de jalousie.
Et toi, cette idée te plaisait ?
Plus qu’il ne pouvait l’imaginer. Pour tout te dire, nous étions ensemble depuis plus de trois ans et je me lassais un peu de notre façon de faire l’amour par trop routinière. J’étais bien avec lui dans beaucoup de domaines, mais il m’arrivait de plus en plus souvent d’avoir envie de quelque chose de plus fort sur le plan sexuel. Tu te doutes que je me fais souvent draguer. A cette époque, j’étais souvent troublée lorsque des hommes me faisaient des avances. J’aimais minauder avec eux avant de les éconduire au nom de la fidélité conjugale. Mais après, je continuais à penser à eux. Je m’imaginais faisant l’amour.
Et tu l'as fait ?
Oui, nous l'avons fait. Nous étions très proche à ce moment et c'était un jeu qui se promettait d'être agréable. Nous étions très excités en le mettant au point. Et un soir nous y sommes allés. Il faisait très chaud. J'avais choisi avec lui une petite robe blanche à bretelles très légère et très très courte et des chaussures dorées à talons.
Tu étais nue dessous?
Non, je portais une toute petite culotte blanche. Par contre, mes seins étaient libres et très provocants sous ma robe.
Comment cela s'est-il passé dans la boîte?
Nous sommes entrés séparément comme si nous ne nous connaissions pas. Il y avait du monde. Je suis vite allée sur la piste pour danser. Pas mal de mecs me regardaient et plus ils me regardaient, plus je bougeais. Quand sont venues des danses plus "intimes", je n'ai eu que l'embarras du choix. J'ai fait traîner les choses, donner des signes de disponibilité à plusieurs.
Tu dansais serrée, serrée?
Pour ça oui ! Et tu sais, dans cette situation, les mecs ont du mal à cacher ce qu'ils ressentent (rire). Il y en avait deux particulièrement "virils" lorsqu'ils me tenaient dans leurs bras. Moi, je ne faisais rien pour calmer le jeu, au contraire. De temps en temps je croisais le regard de mon mari qui se doutait de la situation.
Et alors ?
J'ai accepté de boire un verre avec le plus grand. Il s'appelait Gilles et était super beau. Il m'a sérieusement draguée. Je n'étais pas insensible à son charme. Il était très masculin, tu vois, très sûr de lui. Nous sommes retournés danser. C'était très rythmé, et je bougeais pour lui. Je savais que mes seins se balançaient, que mes hanches provoquaient, que ma robe n'était pas assez longue pour cacher mes cuisses bronzées et que de temps en temps elle remontait bien trop haut... Bref il était fasciné.
La musique a ensuite changé de rythme ?
Bien sûr... C'est la règle dans ce genre de boite. Alors là, je ne le tenais plus. Il m'aurait fait l'amour sur la piste. Ses mains étaient partout sur moi et je sentais son sexe si dur et si gros contre moi. Je fondais. A un moment il a fait glisser la bretelle de ma robe et me caressait carrément un sein dénudé. Heureusement qu'autour de nous ça chauffait aussi !
Et quand la musique s'est arrêtée ?
On s'embrassait sans aucune retenue. La piste s'est vidée, il m'a prise par la main et m'a entraînée à l'écart. On s'est retrouvé dans un coin sombre où il n'y avait que des couples qui, comme nous, recherchaient un peu d'intimité.
Là, je suppose que vous n'avez pas été sages ?
Pas vraiment, non. Il a recommencé à m'embrasser et à me caresser. J'étais bien. Je me suis vite trouvée à nouveau avec un sein à l'air. Il l'a porté à sa bouche. Ses mains étaient partout. Elles se sont faites plus insistantes sous ma robe, je sentais avec délice ses doigts à travers le coton humide de ma culotte. J'espérais que mon mari pouvait me voir ainsi abandonnée. Nous nous sommes laisser aller comme ça pendant un long moment. Durant ces étreintes ma main s'est retrouvée posée sur la bosse que faisait son sexe. Ca m'a fait comme un choc et je me suis mise à mouiller terriblement. Je palpais son sexe à travers son pantalon, pensant que s'il était dans cet état c'était pour moi... Cette caresse ne l'empêchait pas d'être de plus en plus entreprenant et un de ses doigts s'est glissé en moi, titillant avec habileté mon petit bouton. Son geste se faisait plus précis, plus rapide et moi je me laissais aller sans retenue. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, tout ce dont je me souviens c'est que mon ventre s'est embrasé et que je me suis mise à jouir. J'ai dû crier car il m'a donné son doigt à mordre. Je suis revenue à moi doucement, sur son épaule, en me laissant câliner comme un bébé.
Et après ?
Je suis restée un long moment dans cette position. La musique était loin, j'étais si bien. Je me suis aperçue que ma main droite était crispée sur son sexe toujours aussi dur. Il ne m'avait pas accompagnée. Un peu gênée, j'ai regardé autour de moi. Juste en face, à l'ombre d'un pilier, j'ai croisé le regard de mon mari. Il était apparemment le seul à s'être aperçu de nos caresses. Cela m'a fait sourire. Revenue tout à fait sur terre, je me suis excusée auprès de Gilles et me suis dirigée vers les toilettes. Je titubais un peu. Je sentais ma culotte trempée entres mes cuisses et j'avais l'impression que tout ceux qui me regardaient se rendaient compte de mon état!
Et ton mari ?
Il m'a suivi. Je me suis enfermée dans les WC avant qu’il me rejoigne. J’ai retiré complètement ma culotte l’ai glissée dans ma pochette, fait un petit pipi et suis ressortie sans rien sous ma robe. Je l'ai retrouvé dans le couloir. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée et m'a demandé si j'étais bien. Lui aussi était terriblement excité. Je lui ai dit que oui. Il m'a alors demandé si je voulais continuer et j'ai répondu que j'en avais très envie. Alors j’ai fait un truc que je savais fatal pour lui. Je lui ai donné ma culotte en lui disant que je n’en avais plus besoin pour ce que j’allais faire ! Il l'a portée à ses lèvres et a voulu m’attirer à lui. Je lui ai dit "tu l'as voulu" et me suis échappée.
Pour retrouver Gilles ?
Oui, bien sûr. Il m'attendait.
Qu'avez-vous fait alors ?
Il m'a regardée m'approcher. Son regard était toujours aussi brillant... Il s'est levé, m'a enlacée et longuement embrassée. Puis il m'a à nouveau entraînée sur la piste.
Vous avez à nouveau dansé ?
Oui. C'était une série très douce. Je me suis retrouvée collée à lui, sentant à nouveau son désir contre moi. La piste était devenue très sombre et les couples autour de nous n'étaient pas plus sages que nous. Il me serrait, me murmurait des mots gentils. Son attitude a changé quand il a glissé sa main sous ma robe, en remontant lentement le long de ma cuisse. Il s'est aperçu que je n'avais plus de culotte, a rapidement vérifié que rien ne protégeait mon intimité. Sa main a enveloppé ma chatte trempée et il a dit, je m'en souviens parfaitement tant c'était intense "tu es une sacrée salope toi !". Ca venait du fond du cœur !
Vous êtes restés comme ça longtemps ?
Non, on en pouvait plus tous les deux. Il m'a dit "si on sortait". Et, sans me laisser le temps de répondre, il m'a entraînée. Nous sommes sortis de la boîte. Il faisait un peu frais dehors, mais mon cavalier me serrait si fort que je ne m'en rendais presque pas compte. On s'est éloigné vers la plage.
Tu savais que tu allais y passer ?