©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
Avatar de l’utilisateur
par Lynx33
#37105
Voici les confidences téléphoniques d'une femme infidèle. Du rêve et pas mal de réalité...

Bonsoir Sophie. Alors tu n'as pas eu peur de m'appeler ?
Peur? Non. Pourquoi, je devrais? Ca m'amuse et toi ça t'excite, je suppose

Ainsi-tu trompes ton mari ?
Oui et non.

Comment ça ?
J'ai des aventures avec d'autres hommes, mais je ne lui cache pas.
Souvent ?
Assez, oui.

Et il l'accepte ?
C'est lui qui, au début, m'a poussée vers d'autres hommes. Ça ne s'est pas arrêté là où il croyait.

Il n’est pas jaloux ?
Il me dit que non, mais je crois bien qu’il l’est un peu.

Comment cela s'est passé, au début ?
C'était pendant les vacances, il y a deux ans. Nous étions assez proche sur le plan sexuel pendant cette période et nous avons parlé de nos fantasmes. C'est là qu'il m'a parlé pour la première fois de son désir de me voir avec un autre homme.

Que t'a-t-il proposé ?
Rien directement. Il m’a seulement dit qu’il avait plaisir à m’imaginer me rendant avec lui un soir dans une boîte, habillée très sexy. Dans son fantasme, j’allumais les hommes qui me plaisaient. Lui était là, mais comme s'il ne me connaissait pas. Lorsque je trouvais un homme qui me plaisait vraiment, je devais le vamper à mort et j'avais carte blanche pour la suite. Si je voulais, il aimerait voir.

Tu as réagi comment ?
Je lui ai dit que je me doutais qu’il aimait que je provoque le désir d’autres hommes. Dès que nous sortons, il me pousse toujours à porter des tenues suggestives. Mes jupes ne sont jamais assez courtes ou mes seins assez moulés ! Mais, de là à me voir faire l’amour avec un autre, il y a un grand pas. Je lui ai demandé s’il serait sûr de le supporter.

Et alors ?
Il m’a répondu que son désir était si fort qu’il surpasserait ses éventuelles réactions de jalousie.

Et toi, cette idée te plaisait ?
Plus qu’il ne pouvait l’imaginer. Pour tout te dire, nous étions ensemble depuis plus de trois ans et je me lassais un peu de notre façon de faire l’amour par trop routinière. J’étais bien avec lui dans beaucoup de domaines, mais il m’arrivait de plus en plus souvent d’avoir envie de quelque chose de plus fort sur le plan sexuel. Tu te doutes que je me fais souvent draguer. A cette époque, j’étais souvent troublée lorsque des hommes me faisaient des avances. J’aimais minauder avec eux avant de les éconduire au nom de la fidélité conjugale. Mais après, je continuais à penser à eux. Je m’imaginais faisant l’amour.

Et tu l'as fait ?
Oui, nous l'avons fait. Nous étions très proche à ce moment et c'était un jeu qui se promettait d'être agréable. Nous étions très excités en le mettant au point. Et un soir nous y sommes allés. Il faisait très chaud. J'avais choisi avec lui une petite robe blanche à bretelles très légère et très très courte et des chaussures dorées à talons.

Tu étais nue dessous?
Non, je portais une toute petite culotte blanche. Par contre, mes seins étaient libres et très provocants sous ma robe.

Comment cela s'est-il passé dans la boîte?
Nous sommes entrés séparément comme si nous ne nous connaissions pas. Il y avait du monde. Je suis vite allée sur la piste pour danser. Pas mal de mecs me regardaient et plus ils me regardaient, plus je bougeais. Quand sont venues des danses plus "intimes", je n'ai eu que l'embarras du choix. J'ai fait traîner les choses, donner des signes de disponibilité à plusieurs.

Tu dansais serrée, serrée?
Pour ça oui ! Et tu sais, dans cette situation, les mecs ont du mal à cacher ce qu'ils ressentent (rire). Il y en avait deux particulièrement "virils" lorsqu'ils me tenaient dans leurs bras. Moi, je ne faisais rien pour calmer le jeu, au contraire. De temps en temps je croisais le regard de mon mari qui se doutait de la situation.

Et alors ?
J'ai accepté de boire un verre avec le plus grand. Il s'appelait Gilles et était super beau. Il m'a sérieusement draguée. Je n'étais pas insensible à son charme. Il était très masculin, tu vois, très sûr de lui. Nous sommes retournés danser. C'était très rythmé, et je bougeais pour lui. Je savais que mes seins se balançaient, que mes hanches provoquaient, que ma robe n'était pas assez longue pour cacher mes cuisses bronzées et que de temps en temps elle remontait bien trop haut... Bref il était fasciné.

La musique a ensuite changé de rythme ?
Bien sûr... C'est la règle dans ce genre de boite. Alors là, je ne le tenais plus. Il m'aurait fait l'amour sur la piste. Ses mains étaient partout sur moi et je sentais son sexe si dur et si gros contre moi. Je fondais. A un moment il a fait glisser la bretelle de ma robe et me caressait carrément un sein dénudé. Heureusement qu'autour de nous ça chauffait aussi !

Et quand la musique s'est arrêtée ?
On s'embrassait sans aucune retenue. La piste s'est vidée, il m'a prise par la main et m'a entraînée à l'écart. On s'est retrouvé dans un coin sombre où il n'y avait que des couples qui, comme nous, recherchaient un peu d'intimité.

Là, je suppose que vous n'avez pas été sages ?
Pas vraiment, non. Il a recommencé à m'embrasser et à me caresser. J'étais bien. Je me suis vite trouvée à nouveau avec un sein à l'air. Il l'a porté à sa bouche. Ses mains étaient partout. Elles se sont faites plus insistantes sous ma robe, je sentais avec délice ses doigts à travers le coton humide de ma culotte. J'espérais que mon mari pouvait me voir ainsi abandonnée. Nous nous sommes laisser aller comme ça pendant un long moment. Durant ces étreintes ma main s'est retrouvée posée sur la bosse que faisait son sexe. Ca m'a fait comme un choc et je me suis mise à mouiller terriblement. Je palpais son sexe à travers son pantalon, pensant que s'il était dans cet état c'était pour moi... Cette caresse ne l'empêchait pas d'être de plus en plus entreprenant et un de ses doigts s'est glissé en moi, titillant avec habileté mon petit bouton. Son geste se faisait plus précis, plus rapide et moi je me laissais aller sans retenue. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, tout ce dont je me souviens c'est que mon ventre s'est embrasé et que je me suis mise à jouir. J'ai dû crier car il m'a donné son doigt à mordre. Je suis revenue à moi doucement, sur son épaule, en me laissant câliner comme un bébé.

Et après ?
Je suis restée un long moment dans cette position. La musique était loin, j'étais si bien. Je me suis aperçue que ma main droite était crispée sur son sexe toujours aussi dur. Il ne m'avait pas accompagnée. Un peu gênée, j'ai regardé autour de moi. Juste en face, à l'ombre d'un pilier, j'ai croisé le regard de mon mari. Il était apparemment le seul à s'être aperçu de nos caresses. Cela m'a fait sourire. Revenue tout à fait sur terre, je me suis excusée auprès de Gilles et me suis dirigée vers les toilettes. Je titubais un peu. Je sentais ma culotte trempée entres mes cuisses et j'avais l'impression que tout ceux qui me regardaient se rendaient compte de mon état!

Et ton mari ?
Il m'a suivi. Je me suis enfermée dans les WC avant qu’il me rejoigne. J’ai retiré complètement ma culotte l’ai glissée dans ma pochette, fait un petit pipi et suis ressortie sans rien sous ma robe. Je l'ai retrouvé dans le couloir. Il m'a prise dans ses bras, m'a embrassée et m'a demandé si j'étais bien. Lui aussi était terriblement excité. Je lui ai dit que oui. Il m'a alors demandé si je voulais continuer et j'ai répondu que j'en avais très envie. Alors j’ai fait un truc que je savais fatal pour lui. Je lui ai donné ma culotte en lui disant que je n’en avais plus besoin pour ce que j’allais faire ! Il l'a portée à ses lèvres et a voulu m’attirer à lui. Je lui ai dit "tu l'as voulu" et me suis échappée.

Pour retrouver Gilles ?
Oui, bien sûr. Il m'attendait.

Qu'avez-vous fait alors ?
Il m'a regardée m'approcher. Son regard était toujours aussi brillant... Il s'est levé, m'a enlacée et longuement embrassée. Puis il m'a à nouveau entraînée sur la piste.

Vous avez à nouveau dansé ?
Oui. C'était une série très douce. Je me suis retrouvée collée à lui, sentant à nouveau son désir contre moi. La piste était devenue très sombre et les couples autour de nous n'étaient pas plus sages que nous. Il me serrait, me murmurait des mots gentils. Son attitude a changé quand il a glissé sa main sous ma robe, en remontant lentement le long de ma cuisse. Il s'est aperçu que je n'avais plus de culotte, a rapidement vérifié que rien ne protégeait mon intimité. Sa main a enveloppé ma chatte trempée et il a dit, je m'en souviens parfaitement tant c'était intense "tu es une sacrée salope toi !". Ca venait du fond du cœur !

Vous êtes restés comme ça longtemps ?
Non, on en pouvait plus tous les deux. Il m'a dit "si on sortait". Et, sans me laisser le temps de répondre, il m'a entraînée. Nous sommes sortis de la boîte. Il faisait un peu frais dehors, mais mon cavalier me serrait si fort que je ne m'en rendais presque pas compte. On s'est éloigné vers la plage.

Tu savais que tu allais y passer ?
#41829
Bonne idée que cette conversation. :twisted:
J'attends la suite sur le sable. ;)
#53288
Petit résumé illustré de l’épisode précédent :

Sophie est une jeune femme assez exhib que son mari veut partager avec d’autres hommes. Jusqu’à l’été dernier, elle s’était montrée réticente. Mais, le soleil et les vacances aidant, elle est entrée dans son jeu. Un soir ils se sont rendus dans une boîte en faisant comme s’ils ne se connaissaient pas. Sophie s’est montrée très provocante et s’est laissée approcher par Gilles, un bel homme plutôt direct.
#53289
Quant à moi, j’ai fait la connaissance de Sophie sur internet. Nous avons échangé quelques messages à propos de ses aventures. Elle a accepté que je lui téléphone pour m’en raconter plus. Je vous livre le contenu de nos conversations téléphoniques…
Nota : les photos ne sont pas toutes perso
Modifié en dernier par Lynx33 le 01 nov. 2011, 00:04, modifié 1 fois.
#53295
Suite de l'échange téléphonique:

Tu savais que tu allais y passer ?
Jusque là, je dois te dire que tout cela allait si vite et étais si excitant que je ne pensais à rien. J'ai réalisé quand nous nous sommes retrouvés un peu à l'écart et que nos gestes n'ont plus eu d'ambiguïté. Il avait troussé ma robe et m'embrassait goulûment en me palpant mes fesses nues.

Et ton mari ?
Je l’avais complètement oublié ! J’ai pensé à lui en pensant qu’il aimerait voir la main de Gilles palper ainsi mes fesses. Je me suis arrêtée à la fois pour me serrer contre Gilles en l’embrassant et pour regarder mes petites fesses offertes et pour regarder si mon mari nous avait suivi. Il était à une quinzaine de mètre. J’ai pensé qu’il n’allait pas être déçu…

Gilles te caressait les fesses, et toi ?
Moi, je m'étais attaquée à son pantalon et avais glissé ma main sous son slip. Je tenais sa queue chaude et battante. A ce moment j'ai réalisé qu'il allait me prendre comme çà et que je n'arriverais pas à résister.

Parce que tu pensais résister ?
Non, mais j'ai eu peur à cause des maladies. Je lui ai demandé s'il avait des préservatifs. Il m'a dit non, pas sur lui. Alors j'ai dit que je ne voulais pas aller plus loin. Nous avons marché encore un peu et je me suis assise sur un petit banc de pierre
sophie22.jpg


Comment a-t-il réagi ?
Il a sourit et s'est agenouillé devant moi. Et là, il a enfoui son visage entre mes cuisses et sa langue s'est mise à me fouiller, à me lécher. Il m'a aspirée, mangée... Je devenais folle et m’ouvrait de plus en plus. J'ai hurlé quand mon plaisir est venu, mais il continuait encore... Et une nouvelle fois j'ai joui... Alors il s'est redressé, a approché son visage encore tout barbouillé de moi et m'a murmuré "c'est si bon" et m'a embrassée.

Vous en êtes resté là ?
Non, il n'était pas rassasié évidemment. Il m'a dit "suces moi". Tous les mêmes ! Je ne pouvais pas lui refuser ça, il avait été tellement efficace avec sa langue... Il s’est appuyé contre un mur. J'ai dégrafé son pantalon et libéré son sexe. Une belle queue bien dure, bien plus grosse que celle de mon mari. En me faisant cette remarque j'ai pensé à lui. Il ne devait pas être loin, et même s'il faisait noir, la pleine lune nous éclairait suffisamment pour qu'il suive nos étreintes. J’espérais qu’il m’avait entendu crier sous les caresses de Gilles.

Tu l'as sucé ?
Ah ça oui. Quand j'ai eu cette queue devant moi, si grosse, si dure, je l'ai prise à pleines mains. Ca faisait si longtemps que j'avais envie d'un autre sexe que celui de mon mari. Et là, j'avais pour moi un sexe magnifique. Je l'ai léché et embrassé partout, d'abord doucement, puis de plus en plus frénétiquement. Puis, lentement, je l'ai pris dans ma bouche. Son désir sentait fort et cela m'excitait encore plus. Je l'ai doucement enveloppé et commencé un mouvement de va et vient. Il était vraiment énorme et je n'arrivais pas à l'engloutir totalement.

Tu l'as pompé jusqu'au bout ?
#53873
Suite:

Tu l'as pompé jusqu'au bout ?
Oui. Je l'ai pompé longtemps. Plus je l'avalais, plus je sentais l'excitation monter en moi. Je poussais des cris de satisfaction et lui rythmait le mouvement de ma bouche, ses mains dans mes cheveux. Il me murmurait des mots crus, me disait que j'étais une suceuse, que j'aimais la bite, me traitait de salope, de chienne. Et moi je redoublais d'ardeur dans mes sucions et mes mouvements. Je l'avalais, le léchais, le pompais. J'étais comme folle quand je l'ai senti se tendre encore plus. Il criait "je vais gicler", "avale salope, avale tout". Et j'ai senti son premier jet chaud dans ma bouche. Les jets se succédaient au rythme de ses spasmes et moi, j'avalais! Je n'ai laissé échapper aucune goutte. Quand j'ai été sûre qu'il n'y en avait plus, je me suis redressé et l'ai embrassé longuement, la bouche encore pleine de lui !

Ca ne s'est pas terminé comme ça?
Je crois que nous n'en avions pas vraiment envie. Il m'a proposé de l'accompagner jusqu'à son hôtel et je n'ai pas dit non. On a regagné le parking de la boîte pour prendre sa voiture. Lorsque nous avons quitté notre petit refuge, j’ai vu mon mari un peu en retrait. Nous sommes passé assez près de lui. Nos regards se sont croisés. Même s’il n’avait pas tout vu, il savait ce que nous venions de faire. Je me suis resserrée contre Gilles. Sa main, qui était toujours sur mes fesses, s’est faite plus entreprenante. J’ai pensé que ça devrait plaire à mon mari. Nous sommes arrivé à la voiture et nous sommes partis. Je ne savais pas si mon mari avait pu nous suivre.
sophie30a.jpg


Il t’a emmenée chez lui ?
Pas chez lui, à son hôtel car il était lui aussi en vacances. Ce n’était pas tout près et nous avons roulé dans la nuit. Gilles n’était pas très attentif à la conduite. Mes cuisses offertes l’intéressaient plus que la route. A un moment j’ai cru que nous allions dans le décor. Je lui demandé de s’arrêter.

Pourquoi ?
Parce que je suis soucieuse de la sécurité routière… Nous nous sommes embrassés, il a promené ses mains partout sur moi. C’était reparti. Il bandait joliment ! Il a ouvert son pantalon et m’a attiré vers sa queue. Décidemment il appréciait ma bouche.
Sophie31 (2).jpg


Tu as remis ça ?
Je l’ai un peu sucé, mais je ne voulais pas qu’il ait du plaisir. Je le voulais autrement. Je lui ai demandé de nous amener à son hôtel sans quitter la route des yeux. J’ai serré mes jambes et tirer sur ma petite robe pour qu’elle dissimule (un peu) le haut de mes cuisses. Quand il a voulu y replacer sa main, il a eu droit à une tape. « Sage » je lui ai dit… Nous avons alors rejoint son hôtel assez vite. Il a récupéré sa clé et nous sommes montés au sixième. Dans l'ascenseur, il m'a serrée avec fougue contre lui et j'ai senti que son désir était toujours aussi très fort.

Et la nuit fut chaude ?
#54349
Très bon récit !!! plein de charme est d'excitation... pas de graveleu que de la sensualité... j'en redemande !!! :mrgreen:
#55595
Et la nuit fut chaude ?
Ce qui restait de la nuit, oui, très chaude. Il avait des préservatifs, alors plus rien ne nous retenait.
Sophie40.jpg

Il t'a beaucoup fait jouir ?
Je ne saurais te dire combien de fois. Il a été très vaillant! Le matin, nous avons ri en voyant les préservatifs qui jonchaient le sol. J'en ai compté trois !

Comment ça s'est passé le matin ?
Après tant d'ardeur, nous nous sommes endormis. C'est lui qui m'a réveillée vers 9h en me caressant les fesses. Il était prêt. Je me suis offerte, et la journée a commencé comme la nuit avait terminé. Tu sais, j'étais comblée. Jamais je n'avais connu des moments aussi intenses, jamais je n'avais autant joui. Ca m'a beaucoup troublée par la suite et c'est sans doute cela qui m'a conduite à multiplier les aventures.

Et ton mari, tu as pensé à lui ?
Je sais que ce n’est pas bien, mais non. Je l’ai complètement oublié durant cette folle nuit. J’étais toute à mes sensations, mes découvertes, mon plaisir. Je me sentais libre et repue.

Tu l'as quitté facilement ?
Non, évidemment. Je savais que c'était une aventure sans lendemain, mais j'étais si bien. J'ai pris une longue douche, j'ai passé ma petite robe toute chiffonnée et lui ai demandé de me raccompagner. Il avait encore envie, mais je n'ai plus voulu. C’est à se moment qu’il m’a proposé qu’on se revoit. Ce n’était pas évident car c’était mon dernier jour de vacances et il fallait remettre la villa en ordre et faire les bagages. D’un autre coté, je me disais que ce serait dommage de ne pas en profiter. C’est seulement à ce moment que j’ai pensé à mon mari en me demandant ce qu’il penserait si je le laissais encore une fois. Je ma suis demandée quel état j’allais le retrouver. J’ai dit à Gilles que je lui passerai un texto, mais que je ne pensais pas qu’on se reverrait. Il m'a déposée devant notre villa après un très long baiser et des caresses qui m'ont fait regretter de la laisser comme ça. J'étais toute excitée quand je me suis arrachée à ses bras.

Et tu es rentrée comme si rien ne s'était passé ?
Non, pas vraiment. Mon mari m'attendait…

Comment ça c'est passé?
Il m'a carrément sauté dessus, il était comme fou. Il a glissé une main entre mes cuisses et l'a plaquée sur ma chatte. Il me questionnait sans me laisser répondre, avec des mots, des phrases que je ne lui connaissais pas. Habituellement il est très réservé.
Sophie43.jpg

Quels mots?
"Alors tu t'es bien fait sauter?", "Tu es une vraie salope", "Tu es encore trempée de lui, hein? ", "Tu l’as laissé fourrer sa queue partout » et plein de trucs comme ça. Il était terriblement excité. Il m’a inspectée de partout. Il a soulevé ma robe et a regardé ma chatte. Ca lui a fait comme un choc.

Pourquoi ?
Il a dit qu’elle était toute gonflée, qu’il ne l’avait jamais vue dans cet état. Perverse, j’ai dit que c’était normal vu ce qu’elle avait enduré. Puis il a vu une tache suspecte sur ma robe et m’a demandé ce que c’était. Je lui ai répondu ce qu’il avait envie d’entendre et qui était probablement vrai.
Sophie42.jpg

C'est-à-dire ?
Que Gilles avait frotté sa queue contre moi et qu’il devait avoir très envie…

Et puis ?
Tout cela le rendait fou. Il a dégrafé son pantalon et m'a plaquée contre le mur.

Tu l’as laissé faire ?
Je lui ai dit que je ne voulais pas, que j’étais trop fatiguée. Je comprenais son envie, mais le souvenir du sexe de Gilles était encore si présent et je n’avais aucun désir pour lui à ce moment. Et puis ma chatte était effectivement un peu irritée. Je crois que j’avais trop baisé.

Alors ?
J’ai vu sa déception. Il voulait m’enfiler sans ménagement. Alors je me suis forcée, je l’ai pris dans ma main et en quelques mouvements je l’ai fait jouir. Ma petite robe en était trempée, mais de lui cette fois ! Il m'a couvert de baisers, m'a dit des dizaines de fois qu'il m'aimait. Nous sommes allés nous coucher. Lui non plus n'avait pas dormi de la nuit. Il s'était branlé plusieurs fois en m'imaginant avec mon amant...

Et après, que s'est-il passé ?
#55598
Alors ?
J’ai vu sa déception. Il voulait m’enfiler sans ménagement. Alors je me suis forcée, je l’ai pris dans ma main et en quelques mouvements je l’ai fait jouir. Ma petite robe en était trempée, mais de lui cette fois ! Il m'a couvert de baisers, m'a dit des dizaines de fois qu'il m'aimait. Nous sommes allés nous coucher. Lui non plus n'avait pas dormi de la nuit. Il s'était branlé plusieurs fois en m'imaginant avec mon amant...
Sophie43-(2).jpg

Et après, que s'est-il passé ?
Nous avons dormi jusqu’en début d’après-midi. Dès que nous nous sommes réveillés, il m'a demandé de lui raconter. Il voulait tout savoir dans les moindres détails

Quel genre de détails ?
Comment il m'avait prise, combien de fois nous avions joui, si j'avais avalé son sperme la première fois..., tous nos gestes les plus intimes. Moi je lui ai tout dit, c'était notre accord. Ça l'excitait terriblement. Il bandait à mort et moi je le branlais en parlant. Il y a un truc qui le chagrinait et sur lequel il revenait tout le temps.

Lequel?
#55910
Je me reconnais dans ce récit tres bien raconté,qui correspond aussi à notre aventure avec ma femme ,la premiére fois où elle a passé la nuit avec un autre homme et où je l'ai attendu toute la nuit tout excité en me branlant en l'imaginant dans toutes les positions avec son amant et où au matin elle est rentrée,les yeux cernés,la chatte enflée et rougie,les lèvres gonflées des baisers et des fellations faites.....
cela a été notre déclic...j'allais l'offrir a d'autres hommes pour son plaisir et le mien...
Continue ce recit qui me fait des souvenirs....
#56219
Quel genre de détails ?
Comment il m'avait prise, combien de fois nous avions joui, si j'avais avalé son sperme la première fois..., tous nos gestes les plus intimes. Moi je lui ai tout dit, c'était notre accord. Ça l'excitait terriblement. Il bandait à mort et moi je le branlais en parlant. Il y a un truc qui le chagrinait et sur lequel il revenait tout le temps.

Lequel?
Le sexe de mon amant. Je lui avais dit qu'il était assez gros. Alors il a voulu savoir s'il était plus gros que le sien. Là j'ai hésité car il était vraiment beaucoup plus gros et je ne voulais pas lui faire de peine. Comme il insistait, alors je lui ai dit. Il a accusé le coup, puis m'a demandé de lui montrer la taille, de lui dire ce que ça me faisait lorsqu'il me prenait, si la taille avait vraiment une importance...

Et que lui as-tu répondu ?
Ce que les femmes répondent toujours dans ce cas, que la taille n'a pas d'importance... Il n'a pas été vraiment convaincu. Je ne pouvais pas être convaincante car c’était tout le contraire. Son sexe m’avait impressionné visuellement et bien plus encore quand il m’avait pénétrée.

Il en a été affecté ? Vous en avez reparlé ?
Oui, je crois. Nous avons souvent reparlé de ma rencontre avec Gilles. Lorsque nous faisions l'amour, il lui arrivait de me dire, lorsqu'il me prenait, "dis moi si tu jouis aussi bien qu'avec Gilles". A chaque fois il était excité, mais il fallait aussi que je le rassure sur sa virilité. Il voulait que je compare, mais vivait mal que le résultat ne lui soit pas favorable.

Tu as revu Gilles ce jour là ?
L’après-midi je me suis affairée à mettre de l’ordre dans la maison et à faire les valises. Mon mari était toujours à tourner autour de moi et à me regarder comme s’il découvrait une femme différente. Il était très attentionné, bien plus qu’à son habitude, un peu comme au début. Il m’a proposé de m’inviter à dîner dans un beau restaurant pour notre dernière soirée de vacances, en ajoutant « comme ça nous pourrons parler un peu ». A ce moment j’ai pensé à Gilles et je me suis dit que je resterais sur le souvenir d’une unique et merveilleuse nuit. Puis, vers 18h, mon portable a sonné. C’était Gilles. Rien qu’au son de sa voix, j’étais toute émoustillée. Je suis sortie pour lui parler. Il me disait que j’étais la plus belle, que je l’avais rendu fou et qu’il me voulait encore. Il me disait qu’il bandait rien qu’en entendant ma voix… Il m’a supplié pour j’accepte qu’on se voit une fois encore. J’ai senti une bouffée de désir m’envahir avec une drôle de sensation au ventre. Moi aussi je bandais ! J’ai dis que je verrai et que je le rappellerai.

Qu’as-tu fait ?
Quand je suis rentré, j’étais toute troublée. Mon mari a perçu ce trouble et m’a dit : « c’était lui ». Je lui ai dit que oui et qu’il voulait me revoir. Il m’a répondu : « Et toi, tu en as envie ? ». J’ai été sincère en lui répondant oui, puis ça se voyait tellement ! Mais je lui ai dit que je voulais qu’on dîne ensemble comme prévu. Tout allait si vite, je ne voulais pas trop tirer sur la corde et mettre notre couple en péril pour un moment de folie, fut-il des plus prometteurs.

Joli dilemme !
Je suis plus finaude que tu ne crois. Je me suis dit que les deux choses étaient possibles et que je pourrais peut être satisfaire pleinement mes deux hommes, et moi aussi. Il n’était pas question que Gilles et mon mari se rencontrent, mais je pouvais jouer sur les fantasmes de mon mari. Je lui ai proposé de m’emmener à l’hôtel de Gilles et de m’y attendre au bar pendant que « m’amusait un peu » et ensuite il m’emmènerait dîner. Pour achever de le convaincre, je lui ai dit que je lui raconterais tout ce qu’il voudrait savoir pendant le repas.

Il a accepté ?
Sans un moment d’hésitation. Il m’a serrée contre lui et m’a couvert de baisers en me disant que je lui faisais le plus beau cadeau du monde. C’est pas si compliqué les hommes…
#57460
Il a accepté ?
Sans un moment d’hésitation. Il m’a serrée contre lui et m’a couvert de baisers en me disant que je lui faisais le plus beau cadeau du monde. C’est pas si compliqué les hommes…

J’ai l’impression que tu raisonnes comme un homme.
En apparence oui. Cette aventure m’a permis de mieux me connaître et, c’est vrai que je me suis découvert des envies sexuelles assez proches de celles des hommes. Mais ne t’y trompe pas, ce qui se passait dans ma tête était très ambiguë. Au départ, je voulais simplement jouer le jeu de mon mari et me laisser draguer devant lui. Pas seulement pour satisfaire son fantasme, mais aussi pour exciter un peu sa jalousie et lui faire comprendre mes insatisfactions. Je n’avais pas prévu que Gilles m’exciterait autant et que j’irais aussi loin avec lui. Quand Gilles m’a fait l’amour, j’ai retrouvé des sensations enfouies depuis longtemps. Son endurance, sa « présence » en moi ont fait remonter le souvenir d’un de mes premiers hommes, bien avant mon mariage. C’était le premier, et le seul jusqu’à Gilles, qui m’avait fait jouir aussi intensément. A l’époque, je l’avais dans la peau. Puis ça a cassé entre nous car c’était un coureur qui me trompait avec ma meilleure copine. Mais j’ai eu beaucoup de mal à me passer de sa queue. Les autres hommes que j’ai connus ensuite ne m’ont pas procuré les mêmes sensations. Puis il y a eu mon mari. Avec lui, il y a eu de la tendresse, de l’amour. Le plaisir physique était moins fort, mais nous étions tellement complices par ailleurs. Mais avec le temps, la routine s’est installée et j’ai éprouvé de moins en moins de plaisir. Il ne me faisait pratiquement plus jouir. Alors, tu comprends, Gilles a réveillé en moi un besoin très fort que je me cachais depuis longtemps.

Pourquoi allais-tu le rejoindre ce soir là ?
Pour ce que je viens de te dire : jouir et le faire savoir à mon mari.

Vous êtes partis tous les deux ?
J’ai pris le temps de prendre une douche et de me faire belle. Il fallait que je sois au top. J’ai choisi une petite culotte noire transparente. Je l’ai passée devant mon mari en lui disant : « tu crois que je vais lui plaire comme ça ?». Je savais que ça le mettait en transe. Il a voulu me toucher, mais je l’ai repoussé. Comme il s’en offusquait, je lui ai dit que j’étais à Gilles. J’ai passé une mini robe noire à bretelles, laissant mes seins libres sous l’étoffe. Mon mari en bavait et ça me plaisait. Je l’ai un peu excité en soulevant ma robe de loin… Puis je lui demandé de m’emmener. Dans la voiture, il pouvait voir mes cuisses bronzées, mais n’avait pas le droit de les toucher. Il m’a demandé combien de temps il aurait à attendre.
sophie50.jpg
sophie51b.jpg



Et ?
Je lui ai répondu : « Le temps que je sois comblée, tu auras largement le temps de prendre l’apéritif…. »

Comment ça s’est passé à l’hôtel ?
Mon mari a voulu monter avec moi. J’ai refusé tout net. Comme il avait l’air très malheureux, je lui ai dit qu’il pouvait m’accompagner jusqu’à l’étage de Gilles mais qu’après il me laissait.
#58730
Mon mari a voulu monter avec moi. J’ai refusé tout net. Comme il avait l’air très malheureux, je lui ai dit qu’il pouvait m’accompagner jusqu’à l’étage de Gilles mais qu’après il me laissait.

Et il t’a laissée ?
Nous avons pris l’ascenseur jusqu’au sixième. Il est sorti avec moi sur le palier. Il m’a serrée très fort contre lui. J’ai eu l’impression qu’il était inquiet, même si je le sentais bander. Je l’ai rassuré en lui disant que je le retrouverais bientôt et que je serais toute à lui. Je n’ai pas voulu qu’il m’embrasse à cause de mon rouge à lèvre, mais je ne l’ai pas empêché de glisser sa main dans ma culotte. Il a pu se rendre compte de mon excitation. Puis je l’ai laissé et je suis allé jusqu’à la porte de Gilles.
Sophie60.jpg

Ton mari est parti ?
Non il me regardait depuis le palier. Je lui ai fait un petit signe et j’ai frappé à la porte.

Et tu as retrouvé Gilles…
Il m’attendait. Il a ouvert, m’a pris par la main et m’a serrée contre lui. Nous nous sommes longuement embrassés. Il me faisait sentir son désir. En moins d’une minute, deux hommes me prouvaient que je les faisais bander pratiquement sans rien faire. Tu ne peux pas imaginer la sensation de puissance que cela me procure de sentir un homme me rendre ainsi hommage. J’aime qu’un homme bande pour moi rien que parce qu’il me voit. Cette fois encore, j’ai laissé agir mes pulsions. Sans rien dire, j’ai ouvert son jean et saisi sa queue. Elle était à moi, soumise à mes envies.
sophie61.jpg
Sophie61b.jpg
#58736
Sophie63.jpg
Gilles était impatient ?
Gilles m’a plaquée contre le mur, me débarrassant de ma culotte. Ça aurait été si bon qu’il vienne en moi à cet instant, mais nous avons été raisonnable
sophie62.jpg


Je suis allée dans la chambre et Gilles m’a suivi, le sexe dressé, impatient. Je l’ai récompensé en le prenant dans ma bouche. Il avait beau être très long, je l’avalais presque entièrement. J’aime la sensation que procure sur ma langue la fine peau tendue d’un sexe d’homme. Nous ne nous sommes pratiquement rien dit et pas seulement parce que j’avais la bouche pleine. Nous étions là pour faire l’amour et rien d’autre. Nos désirs parlaient pour nous. Gilles a mis un préservatif et m’a attiré sur lui sans même prendre le temps de retirer ma robe. J’ai glissé sa queue en moi et je l’ai sentie m’envahir. J’ai crié. Notre quête du plaisir commençait et elle allait être fructueuse
Sophie64.jpg
Modifié en dernier par Lynx33 le 17 juil. 2010, 03:29, modifié 3 fois.
#58740
Tu pensais à ton mari ?
Absolument pas. Ce que je vivais était trop bon et trop précieux pour penser à autre chose. Par contre, lui pensait à moi.

Il te l’a dit ?
Il n’avait pas besoin de me le dire. Mais, quand nous nous sommes retrouvés, il m’a longuement parlé de ce qu’il avait ressenti. Tu sais que je l’avais laissé dans le couloir. Il avait donc repéré la chambre de Gilles. Il m’a avoué être remonté un peu plus tard pour écouter à travers la porte.

Et il a entendu quelque chose ?
Il paraît qu’il n’y avait pas besoins de coller l’oreille contre la porte pour comprendre que Gilles me faisait du bien. Il ne nous a pas écouté en continue car il y avait des aller et venues dans le couloir et il ne voulait pas trop attirer l’attention. Il changeait d’étage et revenait à son poste. Il a dit qu’il reconnaissait mes cris, mais ne les avaient jamais entendus aussi forts et continus. Malgré la porte et les bruits de fond du couloir, il suivait le cycle de mes orgasmes. Il dit que ça n’arrêtait pas. Il s’est même caressé plusieurs fois devant la porte !
#62318
Tu avais l’air de bien en profiter
Gilles n’a pas arrêté. Il est superbement endurant. Il ne s’est arrêté qu’une fois pendant une dizaine de minutes pour reprendre son souffle et changer de préservatif. Il disait qu’il avait trop chauffé ! J’ai eu un moment de frayeur à ce moment là quand j’ai senti ma chatte toute trempée, pensant que Gilles avait joui et que le préservatif était percé. Mais non, ce n’était que moi. On a bien ri ! Puis Gilles a remis ça…

Vous avez fait ça longtemps ?
Jusqu’à ce que Gilles me demande s’il pouvait jouir. Tu te rends compte, il m’a demandé la permission pour être certains que j’étais satisfaite. Avec mon mari c’est bien plus rapide, moins de dix minutes et il ne peut pas se retenir plus longtemps. Gilles m’a prise pendant au moins 1h30. Pour être satisfaite, j’étais satisfaite. Je l’ai senti avoir du plaisir, regrettant de ne pas sentir son sperme s’écouler en moi.
Sophie77.jpg

Pendant ce temps là, ton mari attendait
J’y ai pensé quand je me suis rendue compte de l’heure. Il avait eu le temps de prendre plusieurs apéros. J’ai pensé qu’il allait râler, puis je me suis dit qu’il avait accepté et que c’était un peu pour lui que je l’avais fait.

Là tu exagères un peu, ce n’est pas que pour lui !
Bien sûr que non. C’était surtout pour moi et je n’étais pas déçue.

Que s’est-il passé alors ?
J’ai dit à Gilles que je devais partir. Je suis aller prendre une douche rapide pour me rafraîchir de partout. Gilles est venu m’aider pour ma petite chatte. Si on avait eu le temps, la douche aurait sans doute été plus coquine…
sophie67.jpg

J’ai remis ma robe un peu froissée, mais je ne trouvais plus ma culotte. C’est Gilles qui l’a retrouvée dans l’entrée de la chambre, là où il me l’avait retirée. Il m’a accompagné à la porte. Nous nous sommes longuement embrassés. Pendant ce baiser j’ai senti un élan de tendresse m’envahir. J’avais été si bien avec lui, il était si attentionné pour mon plaisir. S’il m’avait demandé de rester avec lui à ce moment, j’aurais craqué. Je me sentais amoureuse comme à seize ans ! Mais il a fallu revenir à la réalité. Je lui ai promis de garder le contact, mais hélas pas physiquement et je suis sortie. Je me suis trouvée devant l’ascenseur. J’avais l’impression que tout le monde pouvait voir que je venais de baiser. J’étais un peu dans les vaps, épuisée, les jambes flageolantes et les muscles des cuisses douloureux tant je m’étais ouverte.
Sophie91.jpg
#63130
Et tu as rejoins ton mari comme si de rien n’était ?
Je l’ai retrouvé au bar de l’hôtel. Je me suis assise sur un tabouret à côté de lui. Il me fixait sans rien dire, comme s’il me voyait pour la première fois. Innocemment, je lui ai dit « Je t’ai fait un peu attendre, tu ne m’en veux pas ? ». Son regard s’est porté sur le haut de mes cuisses découvertes où il voyait ma petite culotte noire. Il était dans un état second. D’une voix étranglée, il a dit en fixant le haut de mes cuisses : « Elle a eu sa dose. Je t’ai entendue dans le couloir. Comme tu as joui ! C’est merveilleux ». Il était très ému. J’ai pris sa main tendrement. Ensuite je lui ai demandé de m’offrir à boire car j’étais assoiffée. Il s’est étonné que Gilles ne m’ait pas offert à boire. Coquine, je lui ai répondu qu’on n’avait pas eu de temps à perdre…
Sophie78.jpg

Que s’est-il passé alors ?
Nous sommes allé sur la terrasse pour boire un verre. Mon mari avait retrouvé ses esprits et se faisait très entreprenant. Il voulait que je lui raconte. Je lui ai dit d’attendre un peu, en ajoutant que je n’avais jamais joui comme ça et que c’était merveilleux qu’il permis de vivre un tel moment. Puis il m’a proposé d’aller dîner. Nous sommes allés jusqu’à la voiture sur le parking. Là, il ne tenait plus. Il faut dire que je n’ai rien fait pour le calmer. J’ai écarté largement les jambes en lui disant « Regarde ta petite femme, elle devient une autre »
Sophie81.jpg
Sophie79.jpg
#63479
Comment a-t-il réagi ?
Comme un taureau devant qui on agite un chiffon rouge. Il m’a répondu « Tu deviens toi-même, une belle salope » Il était terriblement excité. Il m’a demandé de lui montrer ma chatte. J’ai écarté ma culotte. Il l’a trouvée rouge et gonflée, mais a regretté que j’aie pris une douche et qu’elle soit refermée.
Sophie71b.jpg

Je lui ai dit qu’elle était encore en feu malgré la douche. Je l’ai ouverte. Elle était toute humide tant j’étais encore excitée. Il a même cru que Gilles avait joui en moi ! Je lui ai dit que non, que j’airais aimée mais qu’il fallait être raisonnable. Il bandait
Sophie84b.jpg

Comme nous étions presque seul sur le parking, j’ai ouvert son pantalon et j’ai caressé sa queue. C’est le moins que je pouvais faire pour lui…
Sophie70.jpg

Notre boutique candauliste 100% sécurisée