- 29 avr. 2011, 17:10
#385544
Bonjour,
Cela fait un certain temps que je viens sur ce forum, et aujourd’hui je voudrais vous faire part de ma découverte de mon état de cocu. Comme souvent c’est le cocu qui est le dernier informé.
J’avais quelques soupçons sur les relations qu’avait mon épouse avec certains de ses collègues notamment l’un d’entre eux qui était beau parleur et qui s’était rapproché d’elle après la naissance de notre premier enfant. Vous savez que notre premier était arrivé la relation de complicité entre nous avait été remise en cause pendant trois ou quatre mois. C’est à cette époque qu’elle s’est rapprochée de ce collègue.
La première fois que je l’ai rencontré, j’étais un peu surpris car en arrivant dans l’appartement je les avais trouvé dans la chambre mais elle a prétexté qu’elle lui présentait les travaux que nous avions fait et je n’ai rien soupçonné car le lit n’était pas défait…
Nous sommes ensuite devenus très amis avec lui et sa propre épouse au point de nous inviter régulièrement les uns chez les autres. Et c’est ainsi que nous avons accepté d’aller passer quelques jours de vacances dans leur petite maison en Bourgogne.
Tout se passait très bien ils étaient sympas et les enfants s’entendaient bien entre eux. Nous buvions des quantités impressionnantes de vin de bourgogne à chaque repas et je dormais comme un patachon chaque nuit. C’est cela et le fait que mon épouse me demanda de me coucher toujours contre le mur de la chambre qui attira mon attention…
Si bien qu’un soir, je prie la décision de ne pas boire tous les verres qui m’étaient proposés du moyen de faire comme s’ils avaient belle et bien été bus mais me débrouillant pour les vider dans les pots des plantes de la maison. Comme d’habitude nous allâmes nous coucher et je m’endormais rapidement après un petit câlin. J’avais gardé mon portable sur moi et vers minuit et demi il se mit à vibrer pour me réveiller.
Mes soupçons grandirent quand je constatais que mon épouse n’était plus dans la couche.
Nos amis dormaient dans une autre chambre et les enfants dans la dernière, le seul espace qu’il était possible d’utiliser était donc la grande pièce commune où nous mangions habituellement. C’est donc dans cette direction que je me rendais discrètement pour valider mes craintes.
A peine ai-je franchi la porte de la chambre que j’entendais des gémissements de plaisir en provenance du fond du couloir. Je devais faire attention car le parquet était ancien et craquait.
Doucement je me rapprochais et je fini par arriver à la porte du salon. Elle n’était pas fermée mais entrebâillée ce qui me permis facilement d’observer à l’intérieur.
J’étais bien cocu, ma femme était là à quatre patte sur le canapé et son amant (car maintenant c’était bien son amant) la prenait avec vigueur en levrette. Elle s’offrait à lui comme elle ne le faisait plus avec moi depuis longtemps. Elle se donnait en offrande et battait le rythme qu’il lui imposait. J’étais rempli de jalousie et fasciné par la vue de leurs deux corps qui se battaient avec le plaisir. Je ne sais combien de temps dura leurs ébats mais il lui procura au moins quatre orgasmes le temps que je les observais. Elle lui rendis le plaisir qu’il lui avait donné en lui suçant et léchant toutes les parties du corps qu’elle pouvait honoré.
Je retournais me couché penaud dans le lit et fini ma nuit et les suivantes bien seul. Je me contentais de boire chaque soir pour dormir profondément tout en sachant qu’ils en profitaient tous les deux pour s’envoyer en l’air.
Nous avons finis par rentrer et il continua d’être son amant jusqu’au jour où sa femme découvrit qu’il avait une maîtresse (qui n’était pas ma femme) et demanda le divorce l’obligeant à s’éloigner de chez nous.
Voilà comment l’on devient cocu sans le savoir. Mon épouse a pris d’autres amants mais se sont d’autres histoires….
Cela fait un certain temps que je viens sur ce forum, et aujourd’hui je voudrais vous faire part de ma découverte de mon état de cocu. Comme souvent c’est le cocu qui est le dernier informé.
J’avais quelques soupçons sur les relations qu’avait mon épouse avec certains de ses collègues notamment l’un d’entre eux qui était beau parleur et qui s’était rapproché d’elle après la naissance de notre premier enfant. Vous savez que notre premier était arrivé la relation de complicité entre nous avait été remise en cause pendant trois ou quatre mois. C’est à cette époque qu’elle s’est rapprochée de ce collègue.
La première fois que je l’ai rencontré, j’étais un peu surpris car en arrivant dans l’appartement je les avais trouvé dans la chambre mais elle a prétexté qu’elle lui présentait les travaux que nous avions fait et je n’ai rien soupçonné car le lit n’était pas défait…
Nous sommes ensuite devenus très amis avec lui et sa propre épouse au point de nous inviter régulièrement les uns chez les autres. Et c’est ainsi que nous avons accepté d’aller passer quelques jours de vacances dans leur petite maison en Bourgogne.
Tout se passait très bien ils étaient sympas et les enfants s’entendaient bien entre eux. Nous buvions des quantités impressionnantes de vin de bourgogne à chaque repas et je dormais comme un patachon chaque nuit. C’est cela et le fait que mon épouse me demanda de me coucher toujours contre le mur de la chambre qui attira mon attention…
Si bien qu’un soir, je prie la décision de ne pas boire tous les verres qui m’étaient proposés du moyen de faire comme s’ils avaient belle et bien été bus mais me débrouillant pour les vider dans les pots des plantes de la maison. Comme d’habitude nous allâmes nous coucher et je m’endormais rapidement après un petit câlin. J’avais gardé mon portable sur moi et vers minuit et demi il se mit à vibrer pour me réveiller.
Mes soupçons grandirent quand je constatais que mon épouse n’était plus dans la couche.
Nos amis dormaient dans une autre chambre et les enfants dans la dernière, le seul espace qu’il était possible d’utiliser était donc la grande pièce commune où nous mangions habituellement. C’est donc dans cette direction que je me rendais discrètement pour valider mes craintes.
A peine ai-je franchi la porte de la chambre que j’entendais des gémissements de plaisir en provenance du fond du couloir. Je devais faire attention car le parquet était ancien et craquait.
Doucement je me rapprochais et je fini par arriver à la porte du salon. Elle n’était pas fermée mais entrebâillée ce qui me permis facilement d’observer à l’intérieur.
J’étais bien cocu, ma femme était là à quatre patte sur le canapé et son amant (car maintenant c’était bien son amant) la prenait avec vigueur en levrette. Elle s’offrait à lui comme elle ne le faisait plus avec moi depuis longtemps. Elle se donnait en offrande et battait le rythme qu’il lui imposait. J’étais rempli de jalousie et fasciné par la vue de leurs deux corps qui se battaient avec le plaisir. Je ne sais combien de temps dura leurs ébats mais il lui procura au moins quatre orgasmes le temps que je les observais. Elle lui rendis le plaisir qu’il lui avait donné en lui suçant et léchant toutes les parties du corps qu’elle pouvait honoré.
Je retournais me couché penaud dans le lit et fini ma nuit et les suivantes bien seul. Je me contentais de boire chaque soir pour dormir profondément tout en sachant qu’ils en profitaient tous les deux pour s’envoyer en l’air.
Nous avons finis par rentrer et il continua d’être son amant jusqu’au jour où sa femme découvrit qu’il avait une maîtresse (qui n’était pas ma femme) et demanda le divorce l’obligeant à s’éloigner de chez nous.
Voilà comment l’on devient cocu sans le savoir. Mon épouse a pris d’autres amants mais se sont d’autres histoires….