- 18 mai 2011, 09:31
#442134
Au fil des ans, l’extension de mes libertés sexuelles est allée de pair avec la baisse des relations avec mon mari. Cela s’est fait selon une logique de fond (la force de l’inconnu et l’intensité des relations extra conjugales face aux habitudes de la relation maritale) et de forme (ma sexualité étant comblée par mes amants, elle demandait moins à l’être à la maison).
Mais l’incidence la plus inattendue et la plus enrichissante pour moi fut de découvrir que plus mon mari était privé de mon corps et plus sa fascination érotique pour moi grandissait. Mieux : il est devenu littéralement dépendant de moi. Ses capacités mentales et son esprit de discernement en ont été positivement affectés, de sorte que sous cette emprise, il y a peu de choses qu’il a été ensuite capable de me refuser... et surtout qu’IL N’AIT EU ENVIE de me refuser !
La découverte, il y a quelques années, des cages de chasteté masculines m’a permis de sceller, au propre comme au figuré, cette dépendance amoureuse. En mettant ainsi sa sexualité en cage - d’abord lors de mes sorties avec mes amants, puis plus régulièrement - je l’ai enfermé dans son obsession de moi. J’aime passer la main sur son pantalon pour apprécier cette forme qui contraint son désir en même temps qu’elle l’aiguise.
Cette cage est devenue pour moi (comme pour lui) l’attribut de son propre sexe, au point de le remplacer. Son désir est maintenant un désir "rentré ", maintenu dans un bouillonnement perpétuel qui est la source de toutes mes libertés de femme. Surprise, aussi, d’assister à ce paradoxe ultime : celui d’un homme « creusé » par le désir, mais que la privation et le manque ont fini par remplir !
En annexant sa sexualité, j’ai annexé l'homme et j'en ai fait ma propriété. Je l’ai aussi rendu à sa condition profonde : il est amoureux fou de moi, corvéable à merci et dans le souci permanent de me satisfaire. Mon rayonnement sexuel et féminin est, selon ses dires, supérieur à ce dont je le prive. Mesdames, que pouvez-vous attendre de mieux de l’existence humaine et de votre vie de couple ?
Mais l’incidence la plus inattendue et la plus enrichissante pour moi fut de découvrir que plus mon mari était privé de mon corps et plus sa fascination érotique pour moi grandissait. Mieux : il est devenu littéralement dépendant de moi. Ses capacités mentales et son esprit de discernement en ont été positivement affectés, de sorte que sous cette emprise, il y a peu de choses qu’il a été ensuite capable de me refuser... et surtout qu’IL N’AIT EU ENVIE de me refuser !
La découverte, il y a quelques années, des cages de chasteté masculines m’a permis de sceller, au propre comme au figuré, cette dépendance amoureuse. En mettant ainsi sa sexualité en cage - d’abord lors de mes sorties avec mes amants, puis plus régulièrement - je l’ai enfermé dans son obsession de moi. J’aime passer la main sur son pantalon pour apprécier cette forme qui contraint son désir en même temps qu’elle l’aiguise.
Cette cage est devenue pour moi (comme pour lui) l’attribut de son propre sexe, au point de le remplacer. Son désir est maintenant un désir "rentré ", maintenu dans un bouillonnement perpétuel qui est la source de toutes mes libertés de femme. Surprise, aussi, d’assister à ce paradoxe ultime : celui d’un homme « creusé » par le désir, mais que la privation et le manque ont fini par remplir !
En annexant sa sexualité, j’ai annexé l'homme et j'en ai fait ma propriété. Je l’ai aussi rendu à sa condition profonde : il est amoureux fou de moi, corvéable à merci et dans le souci permanent de me satisfaire. Mon rayonnement sexuel et féminin est, selon ses dires, supérieur à ce dont je le prive. Mesdames, que pouvez-vous attendre de mieux de l’existence humaine et de votre vie de couple ?