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C'est dans cette section du forum que nous abordons le candaulisme de façon approfondie et réfléchie. Vous êtes invités à engager une discussion sur ce sujet, à poser toutes les questions que vous souhaitez aborder et partager avec les autres membres coquins de ce site. Chacun est libre d'exposer en détail son approche du candaulisme au sein de sa relation de couple. Aucune interrogation n'est prohibée, n'hésitez donc pas à contribuer activement aux différents fils de discussion proposés.

Nous comptons sur votre participation enthousiaste pour échanger de manière constructive sur cette pratique singulière qu'est le candaulisme. Qu'il s'agisse de témoignages personnels, de questions sur les techniques à adopter, les limites à respecter, les plaisirs à explorer ou encore les éventuelles difficultés à surmonter, toute contribution permettra d'enrichir notre réflexion commune sur ce sujet passionnant.

Que vous soyez candauliste occasionnel, candauliste convaincu ou simple curieux, votre avis nous intéresse. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé à vouloir partager l'intimité de votre partenaire, ce que vous en retirez comme satisfactions, les sentiments que cela éveille en vous. Interrogez-nous sur les aspects qui vous semblent obscurs ou problématiques. Ensemble, nous parviendrons à dissiper bien des malentendus au sujet de cette pratique et à en comprendre toutes les subtilités.

Le candaulisme est une facette de la sexualité humaine qui mérite d'être considérée sans préjugés ni tabous. C'est ce à quoi nous nous employons dans cette section, avec comme seul mot d'ordre la liberté d'expression et l'ouverture d'esprit. Alors, que les discussions les plus franches et les confidences les plus brûlantes commencent ! Nous sommes ici pour écouter, conseiller, rassurer et surtout partager notre goût pour le candaulisme.
par mohican
#870638
Erosverde76 a écrit :
cassandra a écrit :Oui, oui... c’est drôle, continuez... à ne lire dans mes témoignages que ce qui sert vos invectives...

Vous pouvez à votre tour convoquer Céline, Jacques Brel, le Troisième Reich, (ah la fameuse loi Godwin !)... bientôt les éminences médicales, l’amirauté papale et tout le St Frusquin vous prêteront la main pour cimenter vos convictions.
Toute cette armada contre une pauvre femme seule... Bouuuuhh !

Ils voulaient me faire expier mes péchés, me mettre la camisole, les voilà qui projettent d’arracher ma langue de vipère pour me faire taire...

Au secours, au secours, disent-ils... cette femme est l’incarnation du Mal... nous l’avons retrouvée, c’est la sorcière du fond des âges... l’Eve perfide... elle ensorcelle son mari.... un maléfice, je vous dis... portons-là à la foire de Hautefaye... appelons la Sainte Inquisition !
(Je l’entends déjà qui arrive, traversant les siècles, comme un troupeau malodorant)


Enfin un peu d'énervement de votre part... vous apparaissez un peu plus humaine et moins machine !

J'échange donc mon « 3ème Reich » contre votre « Sainte Inquisition »

Néanmoins votre texte est révélateur sur au moins un aspect de votre vision de la sexualité « libre » ou « hors norme »
En 1er lieu le fait que lorsqu'on vous attaque sur l'asservissement de votre mari vous le prenez aussitôt comme un refus de notre part de votre libération sexuelle (référence au pêché originel et tutti quanti)
Ainsi vous ne concevez pas que l'on puisse à la fois être libre sexuellement et avoir un mari tout aussi libéré sexuellement et disposé à être candauliste par choix assumé mais toujours au cœur d'une relation amoureuse forte.
Pour vous il y a toujours une dichotomie, une opposition dans le couple entre liberté de l'un et de l'autre. Ainsi, si je suis votre pensée explicitée dans votre texte ci joint, vous ne pouvez être libre sexuellement si et seulement si votre conjoint est privé, brimé, asservi, humilié, réduit à une virgule dans l'infini.
A l'inverse, s'il était libre de ses choix et épanoui sexuellement, ce serait pour vous, attentatoire à votre liberté chèrement acquise de votre part contre les préjugés et la morale religieuses remontant ainsi à la chasse aux sorcières.
Nous vous aurions placée sur la sellette  face au frère inquisiteur!
Pauvre de vous, je ne vous laisserai pas torturée par de tels bourreaux !
La différence entre vous et moi, voyez-vous c'est que vous n'en êtes qu'au stade de la révolte anti catholique traditionnelle et que vous n'êtes en rien débarrassée de toute la mécanique de pensée qui veut que le rapport homme-femme est forcément inégalitaire, rapport de domination soumission dans un sens ou dans l'autre. Mais toujours rapport inégal.
Vous êtes en révolte contre la papauté et la sainte-inquisition mais pas une révolutionnaire accomplie.
Il y a loin entre vos conceptions et celle d'un athéisme militant, humaniste et libertaire (et libertin)
Votre aliénation perdure en ne concevant pas que votre mari puisse être libre et épanoui en même temps que vous et qu'il puisse avoir son libre arbitre sans pour autant que vous soyez à nouveau reléguée au rang de « femme potiche ou soumise »
Vous partez d'une conception du couple et de la femme qui date et contre laquelle vous croyez être à contre courant alors que vous ne faites que renverser une dialectique maître/esclave en une autre dialectique de même nature maîtresse/esclave. Vous n'en sortez pas !
En cela votre intervention ci-dessus et ses inférents religieux est révélatrice d'une pensée qui n'a jamais été gagnée par l'humanisme et la pensée révolutionnaire du 18ème siècle mais est restée à la porte du confessionnal et de l'acte de contrition.
Amen !



Très pertinent ! merci
par cassandra
#870752
Oui, oui, les revoilà comme prévu... ils sont là, obéissants, fidèles au rendez-vous du ressentiment...
Voilà maintenant les hommes en blanc, les chirurgiens de l’âme, les pères la morale et leurs singes savants... tous le doigt sur la couture tandis que l’autre pointe l‘abjecte, la mauvaise femme, la criminelle conjugale...
Elle a tous les défauts cette Pythie, cette impure, et le pire de tous, vous vous rendez compte : elle est allée à l’école, elle est instruite, elle ne garde pas le silence face aux insultes... elle RÉ-FLÉ-CHIT ! Non, mais où va-t-on, je vous le demande...

Les voilà oui, essayant de convertir les voisins à leur haine et professant à qui veut l’entendre : nous, on veut bien être candaulistes, mais attention dans les règles, pas de débordement... parce que l’amour, le bonheur, le respect de l’autre, nous on sait ce que c’est... alors gares à celles qui sortent du rang !

Allez, messieurs, encore un effort... c’est à celui qui fera la plus belle grimace... montrez le temps que vous avez à perdre... à jeter votre venin...
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par Erosverde76
#870766
cassandra a écrit :Oui, oui, les revoilà comme prévu... ils sont là, obéissants, fidèles au rendez-vous du ressentiment...
Voilà maintenant les hommes en blanc, les chirurgiens de l’âme, les pères la morale et leurs singes savants... tous le doigt sur la couture tandis que l’autre pointe l‘abjecte, la mauvaise femme, la criminelle conjugale...
Elle a tous les défauts cette Pythie, cette impure, et le pire de tous, vous vous rendez compte : elle est allée à l’école, elle est instruite, elle ne garde pas le silence face aux insultes... elle RÉ-FLÉ-CHIT ! Non, mais où va-t-on, je vous le demande...

Les voilà oui, essayant de convertir les voisins à leur haine et professant à qui veut l’entendre : nous, on veut bien être candaulistes, mais attention dans les règles, pas de débordement... parce que l’amour, le bonheur, le respect de l’autre, nous on sait ce que c’est... alors gares à celles qui sortent du rang !

Allez, messieurs, encore un effort... c’est à celui qui fera la plus belle grimace... montrez le temps que vous avez à perdre... à jeter votre venin...


Vous êtes donc incapable de répondre sur le fond à mon post précédent, vous êtes vraiment bien ordinaire!
Je vous laisse là à vos limites!
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par utoeuta
#870819
Cassandra et ErosVerde, vos dialogues sont délicieux, quand bien même teintés d'une agressivité certaine, de part et d'autre.
Bien loin d'être ennuyeux, ils sont passionnants. Tous deux êtes très excessifs...ce qui nous vous le confessons tous deux bien volontiers est extrêmement agréable et nous change d'ennuyeux consensus à tous propos.
Néanmoins, nonobstant...il nous semble que Cassandra a davantage "vécu" qu'Eros, et que de fait l'expérience lui donne un léger avantage.
Continuez - s'il vous plait - à vous déchirer. "Epistolairement", vous l'aurez compris, vous !
par mohican
#870887
« Il n’y a pas de vanité intelligente, c’est un instinct. Il n’y a pas non plus d’homme qui ne soit avant tout vaniteux. Le rôle de paillasson admiratif est à peu près le seul dans lequel on se supporte d’humain à humain avec quelque plaisir ». (Céline)

La vérité c’est que le rejeton de Priam et Hécube n’a rien à répondre parce que la littérature, même bien maniée, n’a jamais rien justifiée et sa vanité incommensurable lui donne le sentiment de n’avoir pas à répondre. Seules les béates sollicitudes qui la flattent motive les développement qui la touche elle-même !

Pourquoi s’est-on intéressé à Francis Heaulme, à un Christian Van Geloden ? Pourquoi s’est-on penché sur une femme aussi banale que Nicole Zawadzki (qui a adroitement manipulé le médecin de famille pour qu‘il tue son mari) , un Guy Georges, Michel Fourniret et Nicole Olivier et j’en passe….

Pour leur mérites humanistes à l‘image de l‘Abbé Pierre ou de sœur Theresa ? Pour leurs qualités humaines ?

Non !Simplement parce qu’ils ont fait une ou des victimes.

Pourquoi perd t’on du temps avec une cassandre. Il en existe des centaines comme elles ! C’est parce qu’il y a une victime.

Une civilisation en peut prétendre être grande que si ses citoyens conservent leur capacité d’indignation, de révolte, de réaction.

On sait ce à quoi conduit l’indifférence de toute une nation. Les héros sont ceux qui ont su réagir et faire réagir avec eux. Jean Moulin est un Héros, pas celui qui en a provoqué les évènements qui ont conduit à ce qu‘il se révèle. Ce dernier sert d’exemple )à ne pas reproduire, c’’st à ce titre qu’il mérite d’être connu.

Que pense la société des parents maltraitants connus des voisins et des services sociaux. Pourquoi il y a-t-il eu scandale autour de la mort d’un enfant de trois ans passé dans la machine à laver le linge en dehors du sordide fait divers. Parce que nous étions soudainement passionné par son bourreau comme nous le serions pas cassandre ? Figurez-vous qu’on s’en tamponne de ce type. Sauf qu’on ne peut rester indifférent à l’horreur de son crime.

Nous en resterons probablement tous là avec cette cassandre parce que nous ne sommes pas en mesure d’aider sa victime et que sa personnalité perverse narcissique ne lui permet pas d’accéder aux signaux de mise en garde que nous lui avons envoyé.

L’humanité est tristement féconde en cassandre qui se sentent légitimée par leur victimes et celles qui rêvent de l’être. Amin Dada avait ses fervents disciples. Le pervers narcissique à toujours un égo vertigineux et ne peut pas être un imbécile. Il exerce une fascination sournoise sur sa victime dont il use et abuse. Sortir de l’emprise d’une telle personnalité peut demander des années et laisse un individu anéanti. Recevant des messages de soutient ou de remarques nuancées par une volonté d’échange purgée de toute notion désapprobatrice considérée comme inappropriée (il faut faire preuve d’ouverture d’esprit coûte que coûte) selon leurs auteurs, le bourreau se sent plébiscité, cautionner. Il contemple la plèbe révoltée du haut de ce qu’il considère comme sa splendeur reconnue. cassandre n’est pourtant personne. Le fou dangereux qui a placé cet enfant dans la machine, n’est personne non plus. Mais il y a une victime. Le consentement du mari étant totalement dévoyé par des manipulations perverse, on ne peut d’appuyer sur un jugement sain. Le narcissique exploite les failles de sa victime. Le désir insidieux d’être soumis du mari à conduit à sa perte. La perverse est incapable d’amour. Elle a donc poussé, au delà de ses propres limites et sans qu’il soit en mesure de se révolter et d’ailleurs sous la menace constante d’être quitté (argument facile s’il en est), la démarche à son paroxysme. Elle s’étonne d’ailleurs elle-même de l’absence de limites… cassandre a même décidé d’un COMMUN ACCORD - cela va de soi - , que son mari avait terminé sa vie sexuelle et qu’il ne serait plus que la personne dont la vie sera consacrée à lui faciliter son quotidien tandis qu’elle pourrait ENFIN, se consacrer à ce qui à le plus d’importance à ses yeux au monde : ELLE-MÊME !

« Un fou ce n’est jamais que les idée ordinaire d’un homme mais bien fermé dans une tête. Le monde n’y passe pas à travers sa tête et ça suffit. Ça devient comme un lac sans rivière une tête bien fermée, une infection ». (Céline)

Libérer votre mari de vous, sans son propre consentement de toute façon aliéné, serait la plus magnifique preuve d’amour qu’une cassandre pourrait offrir (puisqu‘elle a exigé de son mari la fin définitive de sa vie sexuelle (à 40 ans, c’est du délire !) comme preuve de son amour infini, qu‘est-ce qu‘elle est capable de fournir comme preuve comparable en retour ?). Son égo surdimensionné lui interdit comme à ses semblables ne serait-ce que l’envisager.

Vous avez dit abjecte, répugnante, je rajouterai pathétique ! Seule la victime a mobilisé les consciences de certains encore sain d’esprit, vous en vérité, on s’en tamponne ! Et à l’instar d’Erosverde, je vous abandonne bien volontiers à votre piédestal d’argile.

Au fait :

"Comme on devient de plus en plus laid et répugnant à ce jeu là en vieillissant. On en a plein la figure de cette sale grimace qui met des vingt ans des trente ans, davantage, à vous remonté enfin du ventre à la face. C'est à cela que àa sert, un homme, à cela seulement, une grimace, qu'il met toute une vie à se coonfectionner et encore qu'il n'arrive pas toujours à la terminer, tellement elle est lourde et compliquée la grimace qu'il faudrait faire pour en exprimer toute la vrai âme sans rien en perdre "

Uto, Gégé et Mohican ont a beaucoup d'affection pour vous. Mais votre situation de couple est à l'image de votre magnifique tempéramment : consensuel... avec ses conséquences ;) (vous savez ce que je veux dire) ! mes respects sincères à Uta. :D
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par zero
#871000
bonjours
personnellement quand un ecrit une histoire ou un sujet ne m interesse pas je ne m y attarde pas.
j ai mes idées, je respecte les choix de chacun
j aime beaucoup vous lire chere Cassandra. je ne vous juge pas ni vous ni votre mari.
alors continuez et tant pis pour ceux qui n apprecient pas.
personne ici du moins je le pense n a a se justifier. c est un espace d echanges du moins je pensais.
vite regalez nous.
bises
par cassandra
#871008
Oui, oui, encore, encore... tous en choeur !

Je dois dire que tant d’efforts m’honorent... toute cette dialectique vaine, ces discours pontifiants pour faire rentrer l’autre dans le rang de vos certitudes.
Après les camps de concentration, Freud et l'indéboulonnable Céline (Mr. Destouches, pas Dion), voilà le siècle des Lumières convoqué comme témoin à la barre... je vous le dis, ils ne reculeront devant rien pour étayer leurs dires et se sentir du « bon côté »... faisant à la fois le procès et la sentence (d’ailleurs ne m’ont-ils pas jugée depuis longtemps, et avec quelle violence verbale) !
Au moins arrivent-ils à se satisfaire entre eux, c’est déjà ça, pour se sentir plus forts sans doute ! L’un poussant l’autre du coude, comme au café du commerce, l’air de dire : non mais, tu as vu ce que je lui ai mis...
Peut-être que ce qui les fait écumer de la sorte, c'est que pendant des mois, jamais je ne me suis permise sur eux les outrances de langage qu'il ont tenu sur moi. Je vois que ça continue : pris à leur propre surenchère, ils ne peuvent plus reculer... au moins, la salle se frise les moustaches...

Agitez-vous encore, je vous en prie... je suis sûre que vous n’avez pas sorti toute votre science... je vous sens à point et si parfaitement convaincus de vous-mêmes...

Allez, on fait risette à Cassandra... Grrrrr, non... il est pas content le Monsieur !
par abyssos
#871029
Non, je n'ai pas tout lu. Les élucubrations de cette Cassandre (quel dramatique contresens que ce choix dans le pseudo) me feraient tomber le livre des mains, si j'avais lu ça dans un bouquin!
Mais j'aime bien la rhétorique de "verde". Je pense qu'il s'amuse en répondant à ces outrances.
Ce qui est encore plus drôle c'est qu'il y a des déjantés pour écrire "oui, maîtresse, encore, plus fort".
Il y a une quarantaine d'années un film "Mondo Cane" avait fait sensation : il montrait quelques bizarreries, énormités, horreurs...qui paraitraient bien banales aujourd'hui, avec ce qu'on trouve sur le net.
Alors continuez, tous les deux, d'autant que votre langage est plaisant dans sa forme, on pourrait même parler de "langage châtié", mais ce serait de mauvais goût au vu de ce que monsieur Cassandre encaisse !!!!

En tout cas, nous voilà bien loin du Candaulisme !
par mohican
#871188
la rhétorique talentueuse de la cassandre s'est essoufflée et transformée en une loghorée insipide et creuse voulant utiliser le lexique de maso que le monsieur de la sado doit connaître sur le bout de ses doigts (sinon, attention à la giffle !), qui lui sied fort mal...
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par Erosverde76
#871237
zero a écrit :bonjours
personnellement quand un ecrit une histoire ou un sujet ne m interesse pas je ne m y attarde pas.
j ai mes idées, je respecte les choix de chacun
j aime beaucoup vous lire chere Cassandra. je ne vous juge pas ni vous ni votre mari.
alors continuez et tant pis pour ceux qui n apprecient pas.
personne ici du moins je le pense n a a se justifier. c est un espace d echanges du moins je pensais.
vite regalez nous.
bises


Petite annonce de "zéro" :
"soumis 46a mental lopette
ex cocu
recherche homme dominateur pour m initier bisexualité faire de moi sa femelle"


Le zéro et l'infini...
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par utoeuta
#871424
Cher Erosverde, ce n'est pas digne de vous.
Si Zero a ce phantasme de devenir la "femelle" d'un mec, c'est son phantasme. Tant qu'ils ne nuisent à personne, la plupart des phantasmes sont respectables quand bien même ils paraissent farfelus, ridicule où que sais-je aux uns ou aux autres.
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par utoeuta
#871756
Pour en revenir à la privation, elle n'est pas liée spécifiquement au candaulisme. Si, comme le fait la mienne, à chaque fois que votre femme va coucher avec quelqu'un d'autre, de fait elle vous prive de relations avec elle. Pour ma part, je préfère qu'Uta ait des relations avec JJ qu'avec d'autres hommes ou femmes, car s'est instaurée entre nous 3 une complicité qui n'existe pas à l'occasion des relations éphémères que procurent le libertinage "classique". Le "candaulisme" (dont à nouveau ici je précise, nous précisons, qu'il induit une relation de type amoureux entre la femme du candauliste et l'amant, ce, à la différence du "cuckoldisme" où la recherche n'est que sexuelle) adoucit la privation, ou est censé l'adoucir.
Pour ce qui me concerne, en faisant l'amour avec JJ, Uta me prive de relations avec elle pendant tout le temps qu'elle fait l'amour avec lui. (cela peut durer plusieurs heures par jour). Sa décision étant de ne pas avoir de relations sexuelles avec moi quand JJ est avec nous, Uta me prive en fait de toutes relations sexuelles avec elle pendant la présence de JJ. (Si elle voit JJ en dehors de chez nous c'est exactement la même chose, que je sois présent ou absent). Le fait qu'Uta accepte de faire l'amour avec JJ devant moi du moment que je ne la touche pas et du moment qu'elle ne s'engage pas à me toucher, me permet de "participer" à ses relations. J'y trouve du plaisir, même si ce plaisir est exclusivement cérébral.
Je pense que le candaulisme tel que nous le pratiquons me permet en fait de partager davantage avec ma femme qu'avant qu'elle ne rencontre JJ. La regarder baiser avec de multiples partenaires - parfois plusieurs fois par semaine - pour satisfaire sa libido débordante m'ennuyait au plus haut point. Il est pour moi infiniment plus excitant de la voir, l'entendre s'offrir, et non plus (pardon pour cette vulgarité) consommer de la queue et de la chatte jusqu'à enfin n'avoir plus envie.
Uta en revanche, à la différence de Cassandra ne se sent pas obligée de m'humilier. Je n'aime pas ça au demeurant, sauf - très rarement - par jeu. Elle ne m'interdit pas son corps, mais en pratique il appartient presque complètement à JJ. Elle sait faire retomber la pression quand elle va me submerger... Je pense que c'est par amour qu'elle serait incapable d'en arriver aux pratiques de Cassandra. Nous avons - voici plusieurs années, avant sa rencontre avec JJ - essayé une relation "cuckold". Uta l'a stoppée aussi vite que commencée...De toute évidence cette expérience l'a incroyablement excitée.
A notre avis à tous deux, Cassandra n'a pas su arrêter... Uta et moi (pour y avoir aussi prit du plaisir, j'avoue) comprenons en fait Cassandra, même cher ErosVerde si elle vous parait "fêlée" (et son mari pas moins qu'elle, mais surement fou amoureux)...
A chacun sa folie. Nous vivons pour l'instant heureux cette folie ordinaire du candaulisme qui reste bien une pratique extraordinaire pour l'immense majorité des gens...
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par Erosverde76
#871775
La question est que le plus lucide des deux (qui peut être elle ou lui) doit pouvoir dire stop quand cela dérape à ce point et qu'il y a danger pour la santé psychique du mari ou de la femme...
Là il y a de multiples signes : le mari qui demande à être au moins averti et qui se prend une gifle magistrale, l'annonce de multiples week end et nuits de solitude où le mari "tremble" "pâlit" (ce qui nous vaut une transcription jouissive de la scène de la part de sa domina)
Il y a encore 2 mois, il avait "droit" encore à participer à un concours de pipe sous la table où l'enjeu était que le moins précoce aurait droit ensuite aux faveurs de sa femme, il a perdu mais au moins il a joui et a fait partie du jeu et non pas relégué aux oubliettes.
A présent il est condamné, à 40 ans, à la castration de fait... (On pourrait peut-être l'exciser elle?!!)

Or elle, elle a bien eu cet éclair d'interrogation il y a 7 mois, le 19 mai 2011 (Saint-Yves avait inspiré sans doute la Bretonne!)
Voici ce qu'elle disait:
"Sans doute, n’impose-t-on à un homme tant d’humiliation sans qu’il en soit changé à jamais. Ce n’est pas rien et il ne s’agit plus ici de jouer. Le processus vital d’un être est engagé : cet homme m’est dévoué au point d’avoir renoncé à lui-même. C’est comme si je l’avais écorché vif, livrant son intériorité aux moindres agressions du dehors, muscles et cœur à nu. Je dis cela avec compassion, mais aussi, je dois l’avouer, avec une cruauté trouble : cela pourrait me peiner si je ne ressentais en même temps un sentiment de puissance qui ne peut faire autrement que de donner libre cours à sa force. Une débauche de vie et de sexe dénuée de toute économie. Comment un homme peut-il supporter cela ?
La question me poursuit et ce site candauliste , malgré la belle diversité des témoignages qui le composent, ne m’en a pas donné la réponse."
voir page 5 de "psychologie du candaulisme" , topic: "qu'est-ce qui fait tomber les hommes?"

La réponse, il me semble qu'ici, un certain nombre tentent de lui amener mais son aveuglement n'a d'égal que son égo surdimensionné!
par mohican
#872086
Cher Uto, cher erosverde, pardonnez-moi de parasiter votre échange constructif.
Je n’ai pas la prétention d’apporter une expérience que je n’ai pas.

Préalablement, je rappelle, cher Uto que de trop nombreuses fois je vous ai exhorté ici ou chez nos camardes Phil et Olga à prendre les choses en main avec Uta qui quelque part n’attend que cela parce qu’elle vous aime… à sa façon. Nous avons tous nos contradictions, Uta n’échappe pas à cette règle et si elle a accepté de vivre sa sexualité avec JJ en « ignorant » la votre, vous en êtes en grande partie responsable.

Votre caractère toujours consensuel, très (trop ?) à l’écoute, probablement très généreux au point de ne considérer votre satisfaction que comme secondaire a « lassé» les attentes d’Uta au-delà des centimètres qui vous séparent de son amant. Dominante de nature, il vous manque cette combativité nécessaire à son désir… Vos savez mieux que moi qu’elle vous reproche de ne pas vous imposer parfois… Les années ont passées, elle vous accepte tel que vous êtes, et de votre côté votre caractère « fataliste » (« nous sommes sexuellement incompatibles, c’est la vie… que voulez-vous ! ») vous a conduit à concéder le prix de votre absence de « révolte » à laquelle j’ai eu l’occasion de vous inviter (révolte stérilisé de toute dimension agressive, bien entendu).

Dans votre lecture de la cassandre, vous opposez votre vécu à ses témoignages dans le même schéma de consensualité, de tact délicat qui sied parfaitement aux réunions diplomatiques et moins à une situation dramatique telle qu’elle nous est décrite. Il faut savoir parfois faire parler la poudre ! Vous devriez (peut-être est-ce le cas ?) faire carrière en politique. Votre maîtrise du politiquement correct est parfaite et l’a toujours été, même face çà des injonctions plus ou moins virulentes ! (sang froid et apaisement !).

Donc, je voulais faire remarquer tout d’abord que le cas présenté ici n’est hélas pas le fait d’un fantasme anodin/ou pas entre deux adultes consentants. Hélas encore, il y a de nombreux précédents de l’autre coté du Rubicon chez tous les adeptes de la soumission extrême sacrifiant jusqu’à leur intégrité physique (désir ardent de devenir impuissant). Il y a également souvent chez ces disciples de maso, une incapacité à prendre le recul nécessaire à l’évaluation des conséquences de leur choix. Steeve y a laissé son couple, combien y ont laissé jusqu’à leur « paternité » … L’amant incarnation du mâle étant jugé comme le seul mâle digne de féconder… on marche sur la tête !

Nous observons une complète aliénation mentale comparable à ce que l’esclavage moderne fait endurer à ses victimes avec sont cortège de prise de contrôle d’une personne sur une autre préalablement psychologiquement fragilisée par une consciencieux travail de sape de l’estime de soi, de la confiance en soi, etc.
Combien confesse éprouver une jouissance sourde à ce traitement sordide ! « Libre » (je conteste ce concept dans ce ca) à eux ! Le narcisse (il y a toujours un narcissique dans l’histoire, sinon il ne peut y avoir aboutissement de la démarche) exploite les failles de sa victimes et s’y engouffre avec une délectation perverse.

La cassandre, imbu d’elle-même qu’elle est décrit avec une fierté jouissive les réactions d’atterrement de son conjoint contraint à un consentement obtenu grâce à une manipulation scrupuleuse : « tu n’es pas digne de moi, je suis tout pour toi, sans moi tu n’es plus rien, tu dois déjà remercier le Ciel (après moi bien entendu) que nous partagions encore quelque chose… ». Un idée affirmée et revendiquée de toute puissance grisante et addictive. Ce parcours est d’autant plus saisissant que son commencement pouvait laisser croire, grâce à son talent rhétorique, à une démarche atypique mais « respectable ». Un itinéraire d’asservissement aussi excessif ne peut naître chez un être éprouvant des sentiments d’amour. Il n’y a pas d’amour chez ce bourreau. C’est une quête et cette quête c’est la jouissance constante et permanent d’être adulée, désirée, idolâtrée au sacrifice de la vie de sa victime. Plus le prix demandé est élevé, plus la jouissance qui en est retirée augmente. On commence par une frustration régulée (éjaculation à intervalle fixés et éloignés), on termine par une confiscation définitive (que le mari n’a jamais envisagé ni demandé ce qui le différencie d’autres qui par ailleurs voient souvent leurs désirs homosexuels passifs s’épanouir de plus en plus). Uta n’a jamais eu une démarche de ce type. Votre parcours, tout original qu’il soit, a fait son lit dans l’amour réciproque. Je me souviens avec plaisir des mots d’amour d’Uta à votre égard Uto, ce qui ne m’empêche pas d’en regretter certains autres que j’ai eu l’occasion de pointer sans réserve. Tout aussi sexuellement égoïste que soit Uta, elle vous surveille bien plus attentivement qu’elle n’en donne l’impression Uto, et son renoncement à des pratique plus extrême telles que Zep ( ? je ne me souviens plus bien) vous a fait expérimenté le démontre. Erosverde traduit bien cette situation : « le plus lucide des deux (qui peut être elle ou lui) doit pouvoir dire stop quand cela dérape à ce point et qu'il y a danger pour la santé psychique du mari ou de la femme... »
Votre « privation », fruit d’un parcours accepté de vous est tout ce qu’il y a de réversible si vous l’exigiez, ce que vous n’oseriez faire par amour d’Uta. Je ne pense pas qu’Uta me contredise. Elle ne l’exige en aucun cas. Elle vous reprocherait même plutôt, en l’absence de JJ, de vous imposer une forme de privation inutilement à vous-même dans des « grèves du sexe ». Uta, très perspicace, à identifié les risques et les conséquences d’une démarche de soumission pour votre couple à laquelle vous, Uto, auriez probablement cédé. Par amour de vous, elle a jugé cette voie délétère quand bien même terriblement excitante.

Enfin, quand bien même à l’instar de Steeve, l’infortuné mari aurait été tenté par cette évolution, il devrait y avoir des auto-censures salutaires pour éviter que certaines pratiques conduisent à hypothéquer l’intégrité psychologique et physique de son/sa partenaire. C’est le principe même de l’amour que de protéger les gens qu’on aime même d’eux-mêmes si nécessaire.

Il n’y a rien de plus difficile pour la victime d’un pervers narcissique que de s’extraire de son emprise car ils sont par définition sur d’eux, charismatique et exercent sur leurs victimes une fascination sans égal. C’est terrifiant !
S’exprime souvent sur le forum quantité d’homme comme Steeve en quête de relations D/s pousées. Rarement une femme exprime avec une délectation aussi transparente le plaisir qu’elle ressent dans l’asservissement de son « mari » tout en ayant une conscience aigue de ses conséquences à terme sur le malheureux, conséquences qui renforcent l’ivresse né de l’exploit.
C’est d’une banalité outrancière que de d’écrire qu’il y a autant de couple que de fonctionnement à deux, autant d’individus que de configuration. Il n’est pas question d’apporter un jugement de morale à telle ou tel pratique. On se moque bien se savoir ce que font Pierre, Paul ou Jacques avec Valérie, Ernestine ou Ginette ! Chacun vit sa vie. Mais si nous sommes confrontés à ce qui ne peut être qualifié que de dérive et que vous nommé avec retenu « un peu excessif » Uto, il ne peut être opposé à de l’indifférence…

La citation d’Erosverde est terrifiante. Le résultat qu’elle a obtenu lui inspire une vague « compassion » (la compassion n’a jamais fait pas partie du lexique amoureux, il y a contradiction dans les termes), mais surtout l’ivresse du pouvoir qui la conduit aujourd’hui à revendiquer son émancipation définitive et le sacrifice total de la vie de l’autre dont toute personnalité est niée et anéantie puisqu’elle ne doit être dévoué qu’à son profit exclusif (je rappelle que la libido est une pulsion de vie, - confisquer la sexualité d’un être c’est en quelque sorte le tuer- ; la libido s’éteint durablement chez les dépressifs et qu’elle explose chez les affamés de vie comme la cassandre qui par ailleurs le revendique puisqu’elle nourrit son épanouissement de l’asservissement de ce qui reste de son mari et que de sa descente dans les abîmes de la soumission naît l’explosion de son égo).

Soumettre à la lecture un témoignage c’est s’exposer à la critique. Dans certain cas, j’estime irresponsable de ne pas le faire, quand bien même se serait en pure perte… on ne sait jamais…
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par Erosverde76
#873168
Post de cassandra d'avril 2011 toujours dans "qu'est-ce qui fait tomber les hommes" p6 de "psycho du candaul"

"Mon mari, un peu dépassé par cette brusque recrudescence (recru des sens devrai-je dire), se retrouve à devoir gérer ce dont les longs mois d’hiver l’avait soulagé : enfants, ménages, corvées domestiques, courses. Je m’interroge sur sa faculté à supporter ces cocufiages incessants."

Je n'avais pas prêté attention, à la premère lecture: enfants ? il y a des enfants au milieu de ce binz! Entre un père dépressif qui craint de perdre sa femme et une mère absente mais tellement resplendissante...
Quel âge ses chers amours? épanouis bien sûr? Pas de souci à l'école, tout va bien, leur père assure...pour l'instant!
par mohican
#873243
Steeve a écrit :Laissez moi revenir sur les risques de la masturbation.

Qu'il vous suffise que je vous dise que c'est après une branlette de malade que je me suis permis d'insulter l'amant de ma Maîtresse. Elle m'a aussitôt viré.
Morale : le soumis qui se branle se met lui même en risque.

J'en pleure chaque jour. N'en déplaise aux heureux thuriféraires de l'amour complice.


En effet ! si en même temps que ton sperme ton cerveau fou le camp (par le même chemin ?) et que ta capacité de dicernement se liquéfie à l'unisson, l'abstinence totale reste la seule option envisageable dans ton cas pour préserver quelques neurones (lol) sur lesquels tu pourras toujours pleurer... consternant !
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par Erosverde76
#876993
Erosverde76 a écrit :Post de cassandra d'avril 2011 toujours dans "qu'est-ce qui fait tomber les hommes" p6 de "psycho du candaul"

"Mon mari, un peu dépassé par cette brusque recrudescence (recru des sens devrai-je dire), se retrouve à devoir gérer ce dont les longs mois d’hiver l’avait soulagé : enfants, ménages, corvées domestiques, courses. Je m’interroge sur sa faculté à supporter ces cocufiages incessants."

Je n'avais pas prêté attention, à la premère lecture: enfants ? il y a des enfants au milieu de ce binz! Entre un père dépressif qui craint de perdre sa femme et une mère absente mais tellement resplendissante...
Quel âge ses chers amours? épanouis bien sûr? Pas de souci à l'école, tout va bien, leur père assure...pour l'instant!


Rien depuis 3 jours!
Gêne? Indifférence? ...y a comme un malaise, tout à coup...
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par utoeuta
#888328
Cher Mohican, la relecture de votre long post était méritée.
Je crains que vous n'ayez raison, comme Erosverde le souligne avec non moins de passion depuis un moment.
Je reprends ici vos phrases les plus importantes à mon sens, mises en gras, mes commentaires à leur propos restant en caractères normaux.

mohican a écrit :Cher Uto,

Nous avons tous nos contradictions, Uta n’échappe pas à cette règle et si elle a accepté de vivre sa sexualité avec JJ en « ignorant » la votre, vous en êtes en grande partie responsable.
C'est exact. Ma responsabilité est indéniable, et je le sais si bien que c'est l'une des raisons pour lesquelles je laisse Uta (ma femme pour les lecteurs nouveaux) très libre de sa sexualité.
Votre caractère toujours consensuel, très (trop ?) à l’écoute, probablement très généreux au point de ne considérer votre satisfaction que comme secondaire a « lassé» les attentes d’Uta ...
C'est non moins vrai. Uta me l'a fait observer également, regrettant ma difficulté à m'imposer. Cette difficulté est née d'un sentiment "d'impuissance" à la satisfaire comme elle l'aimerait. A ma décharge, le choc de sa découverte du plaisir sexuel avec un autre que moi, a été un traumatisme pour moi. Je pense que cette image que je garde d'une netteté inouïe en ma mémoire alors que pas de loin de 20 ans m'en séparent, m'obsédera toujours. Il m'est étrange qu'elle même ne se souvienne plus que vaguement de cette première fois, mais elle me l'a avoué. Vous avez raison, depuis cette nuit là de l'année 1993, ma propre satisfaction est devenue secondaire. J'ai culpabilisé de mon incapacité pendant de longues années, et ce n'est qu'au fil des années que peu à peu, cette culpabilité s'est transformée en résignation.

Votre maîtrise du politiquement correct est parfaite et l’a toujours été, même face çà des injonctions plus ou moins virulentes ! ...
Non, là vous vous trompez, mais c'est sans importance. J'ai en horreur le "politiquement correct" et le consensus béat qu'adoptent trop de gens. L'hypocrisie m'insupporte. En revanche, avec ma femme, il est vrai que ses revendications sexuelles font "Loi" pour moi, précisément parce que je reste résigné. C'est devenu une sorte de fatalisme.

Donc, je voulais faire remarquer tout d’abord que le cas présenté ici
(CASSANDRA) n’est hélas pas le fait d’un fantasme anodin/ou pas entre deux adultes consentants. J'entends bien que beaucoup d'adultes ne puissent être consentants, quand bien même ils pensent l'être.
...chez tous les adeptes de la soumission extrême sacrifiant jusqu’à leur intégrité physique (désir ardent de devenir impuissant). Il y a également souvent chez ces disciples de maso, une incapacité à prendre le recul nécessaire à l’évaluation des conséquences de leur choix. Steeve y a laissé son couple, combien y ont laissé jusqu’à leur « paternité » … L’amant incarnation du mâle étant jugé comme le seul mâle digne de féconder… on marche sur la tête !
J'approuve, et tout récemment j'avais une conversation avec un "cocu" (Dieu que cette appellation est insatisfaisante à mes yeux). Sa femme est tombée d'un autre que lui et limite à l'extrême ses relations sexuelles avec lui, qu'elle trouve douloureuses. N'arrivant à avoir ensemble un enfant, elle songeait à ce que son amant lui en fasse un. Voyant que ce n'est pas un souci physiologique, j'ai bien sur abondé en son sens. Il garde raison, et a naturellement refusé à sa femme cette demande. En l'absence d'une stérilité avérée de son mari, il est pour moi inconcevable qu'une femme songe même à ce qu'un autre lui fasse un enfant, et ce, sans que la décision soit collective.

Nous observons une complète aliénation mentale comparable à ce que l’esclavage moderne fait endurer à ses victimes avec sont cortège de prise de contrôle d’une personne sur une autre préalablement psychologiquement fragilisée par une consciencieux travail de sape de l’estime de soi, de la confiance en soi, etc.
L'aliénation, à mon humble avis, est partagée...
Combien confesse éprouver une jouissance sourde à ce traitement sordide ! « Libre » (je conteste ce concept dans ce ca) à eux ! Le narcisse (il y a toujours un narcissique dans l’histoire, sinon il ne peut y avoir aboutissement de la démarche) exploite les failles de sa victimes et s’y engouffre avec une délectation perverse.
Dans le principe, la jouissance est censée être partagée par les deux, l'épouse et son mari "cocu".
D'après ce que je comprend de vous, Mohican, vous observez cela comme le ferait un psychiatre. C'est au demeurant ce qui rend passionnante la lecture de vos posts. A mon avis, sans que vous même n'ayez vécu personnellement d'expérience candauliste ou d'expérience de cuckoldisme, votre jugement s'en trouve altéré...
La victime, en l'espèce le conjoint de CASSANDRA (mais moi aussi avec Uta) est au moins au départ consentante. Et le plaisir est réel, intense, et d'autant plus fascinant qu'il est incompréhensible que quelque chose qui par définition est impossible ou au mieux très difficile à supporter...se transforme en plaisir, comme l'alchimiste transformerait le plomb en or. Ce forum et d'autres lieux où certains évoquent leurs propres expériences, m'aident, comme ils aident ma femme à tenter de comprendre pour elle, pourquoi ce qui devrait être une souffrance pour moi et une gêne pour elle me donne et lui donne un plaisir cérébral (et sexuel) intense.
L'intense satisfaction sexuelle que lui donne JJ, et qui avoue en être bien récompensé en retour, est de toute évidence pas simplement physique. Ce n'est pas seulement avec la supériorité physique de JJ que je suis mis "en concurrence déloyale". Son jeune âge et son extrême expérience, sa résistance sexuelle et la taille même de son sexe me mettent hors compétition. Cela ne s'arrête pas là...Le plaisir que ma femme donne à son amant est aussi très intense. Non seulement elle prend avec lui un plaisir qui n'est pas à ma portée, donc mon incapacité physique à lui donner me rend ma propre femme inaccessible dans un lit... En fait, ce qui est le plus "troublant" pour moi, c'est de voir le plaisir de toute évidence extrêmement intense qu'elle donne à JJ. Ce jeune homme, comme elle, "hurle" de plaisir avec le corps de ma femme. Uta n'en est pas moins étonnée que moi. Elle pourrait être la mère de JJ, et même si elle est encore belle, son corps bien plus attirant que ceux de biens des jeunes filles, elle a tout de même le double de l'âge de son amant... Leur plaisir est décuplé par le "sentiment amoureux" que l'un et l'autre avouent l'un pour l'autre. Quand bien même l'excellence de la qualité de leurs rapports sexuels leur fait perdre un peu la tête à tous les deux, il est évident que leur communion n'est pas que sexuelle, mais au moins cérébrale.
Ma femme prend désormais un réel plaisir à m'exposer et à ma caméra son corps offert à son amant. Je l'ai remarqué et les vidéos en attestent. Alors qu'avant elle répugnait à me montrer son sexe gonflé par les assauts de "sportif" de JJ et retenait en elle son sperme, elle me le montre maintenant avec fierté. Elle partage désormais avec moi l'intimité qui était sienne et celle de JJ depuis presque 2 ans... Son sexe s'offre à ma vue, à celle de ma caméra. Elle "pousse" hors d'elle le "foutre" de son amant, qui n'en est pas fâché, loin de là et qui lui écarte souvent encore davantage les jambes pour mieux exposer la preuve de leur "amour". Le message est on ne peut plus clair...Je te montre bien que JJ est "mon Homme", je te montre bien qu'Uta est "ma femme".
Ce qui devrait m'être absolument insupportable me comble pourtant. J'attends ce moment avec impatience, et j'en regrette l'endurance de JJ. Il est rarissime qu'il éjacule en ma femme sans lui faire l'amour pendant moins de 45 minutes de suite et souvent plus d'une heure. Je n'en expose que moins de 10 minutes avec les vidéos car cela serait lassant...Ensuite je les laisse continuer leurs ébats une partie de la nuit, dans l'intimité la plus totale.
JJ me trouve trop présent - il me l'a avoué pas plus tard qu'avant hier - mais Uta s'est désormais parfaitement accommodée de ma présence, et elle a bien compris que je n'avais aucunement l'intention de m'effacer. Ce n'est donc plus elle qui tolère ma présence, mais qui moi en la lui imposant parvient maintenant à la lui rendre agréable. Je parie dès à présent, que les prochaines vidéos seront encore plus "chaudes" qu'elles ne le sont déjà.
JJ, aussi, je le sais bien même si nous n'en parlons pas ensemble, aime me montrer le plaisir que lui donne ma femme. Il sait et ne se prive pas de me le rappeler en actes comme en paroles, que c'est lui l'homme...
Je ne suis pourtant pas masochiste et aucunement soumis dans la vie. J'avoue que la soumission que m'impose sa simple présence dans notre lit m'excite... Il en joue. Il dort à ma place dans notre lit. Il s'exhibe dès que je dégaine la caméra. Il pénètre presque en professeur ma femme. Doucement, comme s'il voulait me montrer comme je devrais faire...

La cassandre, imbu d’elle-même qu’elle est décrit avec une fierté jouissive les réactions d’atterrement de son conjoint contraint à un consentement obtenu grâce à une manipulation scrupuleuse ./.
Il n’y a pas d’amour chez ce bourreau. C’est une quête et cette quête c’est la jouissance constante et permanent d’être adulée, désirée, idolâtrée au sacrifice de la vie de sa victime. Plus le prix demandé est élevé, plus la jouissance qui en est retirée augmente.

CASSANDRA est assurément excessive. En même temps, elle est adepte de D/S. On ne peut nier la dimension du jeu pour ceux qui pratiquent la D/S. Il est aussi possible (et probable) que le jeu la dépasse. C'est grisant...à commencer pour la "victime".
./. Tout aussi sexuellement égoïste que soit Uta, elle vous surveille bien plus attentivement qu’elle n’en donne l’impression Uto, et son renoncement à des pratique plus extrême telles que Zep ( ? je ne me souviens plus bien) vous a fait expérimenté le démontre.
ZEN était une partie du pseudo du jeune homme en question. Black, beau, et extrêmement intelligent il est d'une perversité fascinante. Il a guidé ma femme, et moi même, vers un plaisir que ni elle ni moi ne soupçonnions. Il fut tel pour elle que gardant conscience qu'il reposait sur mon humiliation, elle a prit peur pour moi, pour l'équilibre de notre couple, et elle a mis fin à cette expérience à l'issue de notre seconde rencontre avec lui. Uta est une femme très équilibrée, quand bien même elle est prête à bien des expériences sexuelles... Il est fort possible que CASSANDRA toute intelligente qu'elle soit, ne soit pas si équilibrée...

Erosverde traduit bien cette situation : « le plus lucide des deux (qui peut être elle ou lui) doit pouvoir dire stop quand cela dérape à ce point et qu'il y a danger pour la santé psychique du mari ou de la femme... »
Votre « privation », fruit d’un parcours accepté de vous est tout ce qu’il y a de réversible si vous l’exigiez, ce que vous n’oseriez faire par amour d’Uta. Je ne pense pas qu’Uta me contredise. Elle ne l’exige en aucun cas. Elle vous reprocherait même plutôt, en l’absence de JJ, de vous imposer une forme de privation inutilement à vous-même dans des « grèves du sexe ». Uta, très perspicace, à identifié les risques et les conséquences d’une démarche de soumission pour votre couple à laquelle vous, Uto, auriez probablement cédé. Par amour de vous, elle a jugé cette voie délétère quand bien même terriblement excitante.

Vous avez (l'un comme l'autre) à 100% parfaitement analysé la situation.

Il n’y a rien de plus difficile pour la victime d’un pervers narcissique que de s’extraire de son emprise car ils sont par définition sur d’eux, charismatique et exercent sur leurs victimes une fascination sans égal. C’est terrifiant !

Que le ciel me préserve de ce que la perversité joueuse d'Uta ne se transforme pas en perversité narcissique !

Soumettre à la lecture un témoignage c’est s’exposer à la critique. Dans certain cas, j’estime irresponsable de ne pas le faire, quand bien même se serait en pure perte… on ne sait jamais

Votre intention et attention à l'égard du mari de Cassandra sont on ne peux plus louables.
Merci.
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par georgesx1
#893008
moins que la privation c'est la faculté de la femme de décider de la jouissance du petit mâle...ce pouvoir incarné par la clef..autour de ce cou féminin..et dont elle rit .;avec ses amies.;son amant...
Il faut alors croiser les rregards..faire bonne figure...r épondre aux plaisanteries de ces dames ou pire d eleurs hommes...
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par Erosverde76
#893063
Fidélité à sa femme n'égale pas forcément privation et encore moins contrainte, mais plaisir parfois différé! Simplement!

Au risque de te surprendre et peut être d'autres, je porte une cage depuis la St Valentin 2011 donc depuis 10 mois. pour moi ce n'est pas une cage de soumission mais une cage de chasteté = fidélité librement consentie dont j'ai fait don à mon épouse.
Elle me la retire tous les soirs dès qu'elle rentre du travail si elle souhaite un câlin, préférant d'une commune envie le faire en début de soirée avant le repas et non au moment de se mettre au lit quand tout le monde bâille !! :)
Si elle ne souhaite pas de câlin je respecte son choix, mais dans ce cas elle veut me la retirer quand même au moment d'aller au lit, car elle ne supporte pas de me sentir encagé contre elle et me veut "libre" sentir mon sexe, au petit jour, en érection contre elle.
Par contre je la garde les (rares ) nuits où nous ne sommes pas ensemble (stage par exemple)
Cela fait partie d'un jeu pour nous et surtout pas d'une relation D/S qui ne nous conviendrait ni à l'un ni à l'autre.
Jamais nous ne permettrions que l'un(e) ait un comportement violent avec l'autre ou de soumission mentale avec chantage affectif à la clef comme ce fut célébré ici même par d'autres...
Quant aux tâches ménagères, c'est dans l'ordre des choses que j'essaie d'en assumer le maximum de mon temps disponible afin que ma déesse puisse être épargnée le plus possible (Elle me bat à plate couture par contre pour la cuisine qui dans ses mains devient une suite de délices sans fin, je ne gère donc que la cuisine de subsistance et non la gastronomique me "contentant" d'être le garçon de cuisine, elle la toque étoilée! ;) ..)
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par georgesx1
#893073
elle m’a dit qu'elle allait me fesser là....devant eux
ou que je pouvais fuir comme un lâche
Mais qu il fallait assumer
c c comme un con jai voulu a assumer
j'etais terrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrriblement excité je n’avais plus ma tête a moi
adrénaline
e elle ma fait venir sur ses genoux
et................
sur le jean
s sur le calecon
et............
sur le cul nu
…………………………….
je ne voyais q qules genoux j je ne regardais que la moquette
dur d'affronter les regards ensuite

m ais je les entendais parler
converstaion tendue au début
puis le srires
ils avaient bu aussi
i ils parlaient de mes ..."gestuelles " intimes
depuis quejene la touchai splus
la soeur d'Elisabeth a dit que ce n'etait pas sain...qu'il faudrait me mettre une "ceinture" (je ne savais pas à l’époque ce que c'était ) fermée à clef....
une voix a ajouté que la clef devrait être gardée par Philippe et que je devrais la lui demander pour.....
et les rires les rires
je crois qu'Elisabeth en a été même génée.. j'étais son ex ...malgré tout
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par georgesx1
#893102
J’étais privé de rapport avec Elle depuis déjà…cinq mois à l’époque de nos retrouvailles :
J’étais allé voir Elisabeth à Lyon. Je pensais la retrouver seule la reconquérir
Elle était déjà avec sa sœur
l’ambiance était plus distante elle était également stressée elle avait programmé la chose
elle ma averti qu'elle attendait d’autres personnes... "qui étaient au courant du genre de relations qu’on avait désormais entre nous"
que je pouvais encore partir
je faisais semblant de pas comprendre de craner
elle a insisté...
Devant la soeur jamais je n’imaginais la chose
puis on a sonné
sont arrivés l'autre CON(celui avec qui elle me cocufiait notoirement) et une fille..... je pensais qu'elle était avec lui j'étais...un peu rassurée
en fait la fille était la copine de la sœur D’Elisabeth
quand Elisabeth et Philippe se sont ostensiblement embrassés devant moai
.....................
puis la conversation a tourné au cul ..Je me suis rendu compte qu'ils étaient tous très intimes
Elisabeth parlait comme je ne l’avais jamais entendu

Elle m’a dit qu'elle allait me fesser là....devant eux
Ou que je pouvais fuir comme un lâche
Mais qu’ il fallait assumer
c c comme un con j’ai voulu a assumer
j'étais terrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrriblement excité je n’avais plus ma tête a moi
Adrénaline
e elle m’a fait venir sur ses genoux
Et................
Sur le jean
s sur le caleçon
et............
Sur le cul nu
…………………………….
Je ne voyais q qules genoux j je ne regardais que la moquette
Dur d'affronter les regards ensuite

mais je les entendais parler
conversation tendue au début
puis les rires
Ils avaient bu aussi
i ils parlaient de mes ..."gestuelles " intimes
depuis que je ne la touchais plus
la sœur d'Elisabeth a dit que ce n'était pas sain...qu'il faudrait me mettre une "ceinture" (je ne savais pas à l’époque ce que c'était ) fermée à clef....
une voix a ajouté que la clef devrait être gardée par Philippe et que je devrais la lui demander pour.....
et les rires les rires
je crois qu'Elisabeth en a été même gênée.. J’étais son ex ...malgré tout
par mohican
#893420
@ steeve
"L'homme sait qu'il ne peut avoir de satisfaction sexuelle que quand son épouse le veut bien (ou qu'elle l'a décidé, elle), aussi change-t-il son fusil d'épaule. Moins directif et dirigiste, il est plus dans la séduction à son égard, plutôt dans la persuasion que dans la prise d'initiative."

le texte de Sylvia est très beau et traduit un équilibre amoureux et complice que tu es loin d'expimer dans tes commentaires et aspirations. Mais pour cet extrait, je rétorquerais qu'une cage n'est en aucun cas nécessaire à la matérilaisation de cet objectif.Si ma femme apprécie que je me montre entreprenant parfois et que je joue les "machos", cela reste très marginal et le plus souvent c'est elle qui prend l'initiative au gré de ses désirs que je respecte scrupuleusement. Il peut arriver que je propose mais je la laisse disposer de mon désir qui de toute façon sera opérationnel à discrétion. J'ai plus de désir qu'elle n'en a, comme beaucoup japprécie parfois de rester "sur la béquille" en attendant son bon vouloir et sans avoir recours à un soulagement artificiel expéditif. Une simple pénétration sans chercher à jouir, juste le plaisir infini de la fusion de nos corps, comme le prolongement d'un baiser sensuel, est une pratique courante pour nous. Je n'ai pas besoin d'être encagé pour ça. Du reste je ne l'accepterais pas et à l'instar d'Erosverde, les jeux de D/S nous sont étranger. Si je peux en comprendre les ressorts et les motivations, leur débordement dans le quotidien me paraît toxique à terme. Mais chacun sa vie. La cascassande qui te fait réver steeve n'épouse en aucun cas la démarche de Sylvia. L'utilisation d'une cage, s'il est un dénominateur commun à certains, est loin de traduire une équivalence dans le fonctionnement des couples qui l'utilisent.

@ Uto
Merci Uto pour ce formidable travail d'analyse passablement chronophage...
Merci pour cette toujours égale sincérité...

Vous restez invariablement très mesuré dans vos propos, ce dont je suis bien incapable, c'est un fait acquis, et c'est en ce sens que je faisais référence au "politiquement correct".... Ce qui me révolte me fait réagir... sans détour !

Mes emportements sont effectivement le résultat d'une empathie particulière pour certains hommes qui sont à mon sens des victimes et dont le « consentement » ne devrait pas servir d'alibi à des pratiques délétères autant psychologiquement (destruction méticuleuse de l’image de soi) que physiquement (poursuite d’un objectif d’impuissance de son partenaire à la sexualité encombrante ou réduire ses éjaculations à une portion congrue -et je ne parle même pas de jouissance masculine… l’indigne perspective !- sachant l’importance de de ces dîtes éjaculations pour l’intégrité de la prostate en particulier et/ou de la physiologie en général) et qui sont aussi étrangères à l'amour que la neige en Guyane... Mais je reconnais une forme d'assiduité de quelques hommes à ces mêmes pratiques auxquelles ils sont incapables de renoncer. C'est leur "choix", même si je reste convaincu qu'il n'est pas gouverné par un libre arbitre sincère parce que sous l'influence d'un tiers dont l'ascendant est avéré. Ces femmes, puisque ce sont de certaines femmes dont il s'agit, saisissent cette opportunité et l'exploitent à leur seul profit au mépris des notions les plus élémentaires de respect et d'estime de l'individu qui leur sont dévoués et desquels elles vont finir par exiger l'impassable, comme dans ce cas, l’abdication de toute vie sexuelle sachant qu’elles-mêmes vont à la fois voir la leur exploser et de plus revendiquer une liberté affective totale qu’elles prétendent vivre sans obstacle puisqu’affranchies de toute contrainte matérielle (le gentil petit mari assurant contre vents et marées et humiations : intendance, logistique et trésorerie, il faut ce qu’il faut… il a déjà l’immense privilège de ne pas être quitté… totalement…. Il peut bien faire ça en plus d’être interdit de bander !). :shock:

Le cas cassandre est un cas d’école tant l’anonymat de ce média lui permet de confesser sans retenue les ressorts de son plaisir avec un orgueil dénué de toute pudeur, révélant sans même en avoir conscience, une personnalité parfaitement toxique qui relève, je le maintiens, de la psychopathologie sensu stricto. Il serait intéressant que son mari ait la possibilité d’exprimer son ressenti (cet homme semble très absent), bien qu’il paraitrait surprenant qu’il soit en mesure de formuler une lecture objective de ce qu’il subit.

La personnalité perverse narcissique n’est pas accessible à des observations remettant en cause ses choix. Nous avons pu constater qu’elle n’opposait aux remarques qu’une forme de mépris condescendant assez puéril mais aucune tentative de nuancement de sa conduite qui pourrait laisser penser aux lecteurs qu’elle reste lucide et dans une complicité de simple jeu imprégnant certes son quotidien, mais parfaitement maîtrisé, et qui donc laisserait la place à un possible retour en arrière du fonctionnement qu’elle a conduit à son seul profit, faut-il le rappeler. A ce titre d’ailleurs, il n’était même pas possible d’attendre un autre type de réaction… Il m’a été amusant de lire dans un message m’étant adressé une formule du genre « je ne vous autorise pas…. »… Son mari risquant un aller/retour bien claqué en cas de récrimination, toute modérée qu’elle soit, ne l’a pas habitué à rencontrer d’opposition ! Je n’ai pas besoin de permission en effet ! ;)


Toutefois, partant du principe qu’on ne peut pas lui contester une intelligence singulière, je ne désespère pas que la lecture d’une réaction ou d’une autre (que j’en sois l’auteur ou non m’indiffère plus que totalement) fasse germer dans son esprit torturé une pousse de raison salutaire pour sa victime.

Notons enfin, qu’il y a des enfants dans ce couple, suffisamment jeunes pour exiger présence à la maison et attention, et que si nous savons tous ce que représentent les difficultés de leur éducation dans un environnement aussi « structuré » et structurant que possible, comment ne pas imaginer que les règles qui régissent ce couple n’aient aucune conséquence sur leur développement : image du père, de la mère, rapport entre les individus et sexes… Difficile de considérer qu’ils soient capable de les épargner par un quelconque cloisonnement d’une sexualité qui manifestement envahi toute leur vie (enfin celle de madame) puisqu’elle autorise la cassandre à escamoter son foyer et donc époux et enfants au gré de ses désirs, seuls référant à ses choix. :evil:

S’il paraît évident qu’Uta soit une forte personnalité d’une part et que d’autre part elle soit capable d’un égoïsme sans concession dès qu’il s’agit de son plaisir sexuel, à vos dépens Uto, elle ne présente aucun des signes d’une personnalité perverse (elle ne prendrait aucun plaisir à vous voir souffrir, j‘en suis intimement persuadé, ce qui est le propre du pervers). J’ajouterais que je suis au contraire convaincu que si vous exprimiez une quelconque souffrance, elle renoncerait instantanément à JJ. Quant au narcissisme, c’est nécessaire à l’équilibre psychique de chacun d’entre nous mais point trop n’en faut. Pour être aimé et considéré, il faut commencer par s’aimer et s’apprécier soi-même, s’est basique.

La vie passe vite, très vite… le mari de cassandre voit sans doute ses plus belles années sacrifiées par une cette aspiration dans un mécanisme dont tout contrôle lui est confisqué…j’ai de la peine pour cet homme (comme pour la plupart de ceux qui sont ou seraient dans le même cas, et il y en a d‘autres !), même si j’ignore totalement qui il est, mais quelle importance ! C’est tout. :cry:
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par utoeuta
#902771
Cher Mohican
Vos analyses sont souvent pertinente. Je crains en effet que vous ne soyez plus réaliste que moi et Uta pour ce qui concerne Cassandra. Disons que nous la trouvons très excessive, quand bien même nous (surtout Uta, sans doute parce que femme) arrivons à (un peu) comprendre qu'elle puisse trouver du plaisir à ainsi maltraiter son mari.
Pour en revenir à votre appréciation sur le "politiquement correct", vous me flattez. Je vois que je vieillis. Le "politiquement correct" n'est pas mon fort !
Disons que je me résigne, et que du coup "je mets de l'eau dans mon vin". Je sais - comme vous le remarquez - qu'Uta peut parfaitement du jour au lendemain arrêter sa relation avec son amant, JJ. Je sais également que quand elle est avec lui, elle n'a envie de relations sexuelles qu'avec lui.
En fait, depuis que nous avons commencé le libertinage, nous nous en tenons à la même ligne de conduite : séparer Amour et Sexe. Alors, je crois Uta quand elle me dit que je ne dois pas confondre les sentiments qu'elle éprouve à l'égard de JJ avec de l'Amour. Elle se refuse à admettre que cet attachement qu'elle a à son égard pourrait être de l'Amour, sans pouvoir lui donner un nom. Il est certain - et c'est pour elle une forme "d'excuse" vis à vis de moi, que l'attirance et la complicité sexuelle qu'ils partagent exalte leurs sentiments...
Pour en revenir au sujet "Candaulisme et privation", il résulte de mon candaulisme que je suis privé sexuellement de ma femme au profit de son amant. Je ne partage que du regard l'intense plaisir qu'il donne à ma femme et l'intense plaisir que ma femme lui donne...
par mohican
#903604
Cher Uto,
"Pour en revenir au sujet "Candaulisme et privation", il résulte de mon candaulisme que je suis privé sexuellement de ma femme au profit de son amant. Je ne partage que du regard l'intense plaisir qu'il donne à ma femme et l'intense plaisir que ma femme lui donne..."

ça aussi ça m'attriste. Je n'ai que trop commenté cet état de fait qui me laisse un goût de mélancolie. Trop souvent j'ai exorté Uta a plus d'empathie à votre égard mais je sais que votre responsabilité est grande quant à cette situation.

combien de fois vous ai-je vous "exorté" à vous montrer plus entreprenant, plus combatif..

Vous êtes enfermé dans un fatalisme stérile qui arrange bien Uta et ne vous rend pas service. Seulement la femme que vous désirez le plus au monde ne naît que dans les bras de son amant et jamais dans les votres. De fai,t la femme qui s'offre à vous ne vous excite pas... ou surtout beaucoup moins.. cercle vicieux... Vous n'êtes pas excité, elle n'est pas excité et donc la boucle est bouclée... bonne nuit !

les psys suggèrent de jouer à "faire comme si"... se forcer un peu... et au détour d'une expérience il peut se passer quelque chose d'inattendu. J'ai coutume de dire qu'on est jamais çà l'abris d'une bonne nouvelle ou d'une bonne surprise !

vous avez ensemble bien plus de ressources que vous ne vous accordez à admettre et Uta vous doit aussi d'être disponible pour vous. Ni l'âge, ni les centimètress, ne seront jamais des arguments justifiant une confiscation d'une sexualité s'il y a un amour sincère...pas même une ejaculation précoce (ce dont vous ne souffrez pas) parce qu'il y a des solution à moins de vouloir absolument soit le devenir soit le rester.

Et puis même si c'est "mieux" avec Jj ou un autre, quelle importance ? ce n'est pas une compétition, il n'y a à la toute fin que des vainqueurs de toute façon ou tout au moins jamais de perdants !Je suis mieux en voyage qu'au boulot, mais je ne peux pas être toujours en voyage (quoique, vu ma vie...) et j'apprécie d'autant plus les voyages qu'il y a le reste (sans vouloir comparer l'amour avec vous comme une journée de travail laborieuse, il s'agit juste d'une illustration. (J'ai déjà utilisé la métaphore de la voiture de collection en face de la voiture de sport).

Bref, d'il peut y avoir privation dans votre cas à certains moments, elle ne devrait pas s'exprimer au delà de ces parenthèses (plus ou moins durables)...

j'ai déjà exprimé mes reserves quant à votre "ménage" à trois, je persiste et je signe parce que vous êtes à ce moment là Le Perdant de l'histoire, ce qui m'attriste encore une fois.
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par utoeuta
#904376
[quote="mohican"
Vous êtes enfermé dans un fatalisme stérile qui arrange bien Uta et ne vous rend pas service. Seulement la femme que vous désirez le plus au monde ne naît que dans les bras de son amant et jamais dans les votres. De fai,t la femme qui s'offre à vous ne vous excite pas... ou surtout beaucoup moins.. cercle vicieux... Vous n'êtes pas excité, elle n'est pas excité et donc la boucle est bouclée... bonne nuit !
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Vous avez raison, et vous êtes un de ceux - ici ou ailleurs - qui m'en a le plus fait prendre conscience.
UTA s’accommode parfaitement de mon fatalisme qui la déculpabilise. De ce fait, j'y trouve l'avantage de satisfaire mon voyeurisme. Le naturel avec lequel elle s'offre à son amant à tous moments en ma présence est extrêmement excitant pour un voyeur.
L'excellence de leurs relations sexuelles à tous deux, il est vrai, éloigne ma femme de moi. Elle ne s'en cache pas. Elle n'a d'envie sexuelle que pour JJ. Il ne s'agit pas de me consoler, mais il en était ainsi avant qu'elle ne le rencontre. Elle prenait son plaisir sexuel pendant les multiples rencontres qu'elle faisait. Son rythme de sortie a baissé, et Uta me confie que depuis qu'elle sort en couple avec JJ, la qualité de ses rencontres est bien meilleure. Lui comme elle ont une très forte libido, lui comme elle sont très expérimentés. Dès lors, tout naturellement ils attirent à eux des couples comme eux : "à forte libido" et très expérimentés. Uta avoue qu'elle aime ces "échanges, pendant lesquels le plaisir est partagé par toutes et tous". C'est Uta qui m'a demandé de renoncer à l'accompagner dans de telles rencontres, au seul profit de Jean-Jacques. Très franchement, cela ne me prive aucunement.
En réalité, mon vrai et sans doute unique problème, est que ma femme "me fait peur". Vous avez raison. "La femme que je désire, ne naît que dans les bras de son amant...". J'en suis bien conscient, et c'est pourquoi je considère qu'il est tout autant si ce n'est plus que moi "le mari de ma femme". Jean-Jacques est parfaitement conscient qu'Uta est sa femme quand il est là. Il me l'a dit à plusieurs reprises. S'il n'a nullement le besoin de m'humilier ou de chercher à s'imposer à moi, c'est parce qu'Uta se conduit comme sa femme le plus naturellement du monde avec lui, même en ma présence. Et vous avez parfaitement analysé la chose : c'est avec cette femme là que j'aimerai faire l'amour, c'est cette femme là que je voudrais faire jouir. Oui, mais, c'est Jean-Jacques qui l'enlace, qui l'embrasse, qui la caresse. C'est Jean-Jacques qu'elle embrasse, qu'elle enlace, qui la fait mouiller... c'est son sexe qu'elle suce, en le flattant pour sa grosseur, et c'est son sexe - et seulement son sexe - qui la pénètre, la fait gémir, haleter et jouir, et encore jouir et rejouir, avant (comme c'est vilain comme mot) de la remplir, une fois, deux fois, trois fois dans l'après midi ou la nuit.
Je veux bien vous écouter, et même vous entendre cher Mohican, mais il y a toujours ce moment où la supériorité physique de Jean-Jacques me ramène à la réalité...La largeur de son pénis stimule son vagin là où elle ne sent que 3 de mes doigts qui n'ont rien de féminins. Sa longueur la stimule là où ni mes doigts ni bien sur mon propre pénis plus court de 7 à 8 cm que celui de Jean-Jacques n'ira jamais...C'est très "con", mais l'anatomie participe du plaisir quand bien même certain(e)s disent le contraire !

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