- 01 août 2012, 22:02
#1166933
Et puis elle s'est couchée sur le dos et son amant l'a prise de nouveau ...
Un détail amusant, enfin un "détail" mais justement c'est tout l'inverse de la discrétion. Pour ceux qui ont lu la description de ce soi-disant love-hôtel cosy, qui en fait n'était que de l'apparat, de la quincaille et de la brocante, on entendait ce qu'il se passait dans le couloir, on entendait la musique des autres chambres (oui, il y en a qui font crac-crac en écoutant Pavarotti et même d'autres trucs qu'on n'entend même plus sur Nostalgie), on entendait et on sentait l'odeur de cigarette de quelques personnes qui passaient derrière une sorte de cloison qui n'arrivait pas jusqu'au plafond de la chambre.
Je pensais que si nous étions au courant de cette manière de ce qu'il se passait autour de nous, il devait en être de même pour le reste de la maison à propos de ce qu'il se passait dans notre chambre. Alors qu'un couple légitime aurait évité tout gémissement pouvant laisser transparaître ce qu'il se passait sur le lit, Manon et son amant avaient perdu toutes les notions de ce qu'est la discrétion et surtout n'avaient pas envie d'étouffer leurs émois. Manon gémissait tout haut de sentir la grosse queue de Sylvain coulisser dans sa chatte, c'étaient des hurlements quand il lui donnait de grands coups. Et puis ils ont très vite remarquer que le lit était avec un sommier et un matelas à ressort, il avait un rebond formidable. Je ne sais à sa quantième vie il en était, mais je trouve que pour la suivante il aurait très bien sa place dans une plaine de jeu pour une bande de gamins, je regrettais presque de ne pas avoir trente ans de moins pour profiter de cette couche extraordinaire. Sylvain, lui, en profitait de cette qualité remarquable et ça faisait un potin d'enfer, les hurlements de Manon, le lit qui grince, le parquet qui craque, on n'entendait même plus Pavarotti dans la chambre au dessus.
Un détail amusant, enfin un "détail" mais justement c'est tout l'inverse de la discrétion. Pour ceux qui ont lu la description de ce soi-disant love-hôtel cosy, qui en fait n'était que de l'apparat, de la quincaille et de la brocante, on entendait ce qu'il se passait dans le couloir, on entendait la musique des autres chambres (oui, il y en a qui font crac-crac en écoutant Pavarotti et même d'autres trucs qu'on n'entend même plus sur Nostalgie), on entendait et on sentait l'odeur de cigarette de quelques personnes qui passaient derrière une sorte de cloison qui n'arrivait pas jusqu'au plafond de la chambre.
Je pensais que si nous étions au courant de cette manière de ce qu'il se passait autour de nous, il devait en être de même pour le reste de la maison à propos de ce qu'il se passait dans notre chambre. Alors qu'un couple légitime aurait évité tout gémissement pouvant laisser transparaître ce qu'il se passait sur le lit, Manon et son amant avaient perdu toutes les notions de ce qu'est la discrétion et surtout n'avaient pas envie d'étouffer leurs émois. Manon gémissait tout haut de sentir la grosse queue de Sylvain coulisser dans sa chatte, c'étaient des hurlements quand il lui donnait de grands coups. Et puis ils ont très vite remarquer que le lit était avec un sommier et un matelas à ressort, il avait un rebond formidable. Je ne sais à sa quantième vie il en était, mais je trouve que pour la suivante il aurait très bien sa place dans une plaine de jeu pour une bande de gamins, je regrettais presque de ne pas avoir trente ans de moins pour profiter de cette couche extraordinaire. Sylvain, lui, en profitait de cette qualité remarquable et ça faisait un potin d'enfer, les hurlements de Manon, le lit qui grince, le parquet qui craque, on n'entendait même plus Pavarotti dans la chambre au dessus.
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Par contre, pas remarqué l'odeur de clope.... Quand est ce que tu nous parles du jacuzzi 
?
