Bonjour elLe,
Quand on te voit, quand on t'imagine, on a envie de te dévorer toute crue (ne vous voyant pas revenir, je pensais d'ailleurs que c'est ce qui vous était arrivé). Et pourtant c'est si bon de te déguster tout doucement, j'ai pris un plaisir fou à lire les messages de ton coquin, un par un, prenant le temps de regarder chacune des photos, revenir en arrière pour mieux être dans l'ambiance, parfois recommencer le tout au début pour ne pas te découvrir trop vite.
En lisant ce reportage, magnifique comme les autres du même auteur, je pensais aux compliments que j'allais lui envoyer, cette photo est magnifique, quelle jolie robe, ha oui oui oui la jupe relevée sur l'autoroute on adore aussi ... finalement pour chaque message on écrirait trois pages, après il faut faire un tri pour ne pas monopoliser le forum. Et puis ...
elLeMiam a écrit : Oulala, revivre tout ça en spectateur me fait frissonner à nouveau.
Quelle excitation de se sentir livrée ainsi aux désirs lubriques d'un autre
La préparation, chauffer testeur la veille en cam, m'exhiber dans la rue, monter dans la chambre en essayant de rester naturelle.... quel délice...
Puis me bander les yeux et attendre sagement que l'on vienne gouter mon cul... hum... ( ça y est je suis excitée).
Et alors..... s'abandonner aux regards, aux mains, aux queues, aux langues, de 2 salops qui rêvent de me dévorer, c'est l'extase......
Je deviens trés chaude, rouge, mouillée, ça me rend folle...
Je vous laisse, il faut que j'aille éteindre ce feu!!!!!
... toute innocente (à peu près quoi), tu viens te confier à nous, nous dire que ça t'a plu que ces deux coquins profitent de toi, de t'offrir à eux sans défense, et quasi en temps réel nous dire que tu dois nous quitter pour calmer la folie qui t'envahit.
Et bien, ma chère elLe, je dois te dire que ton message il a bien plus d'effet que le splendide reportage de Monsieur Miam et des résultats de tests du Testeur (désolé de vous le dire les deux gredins

).
Gros bisous la belle, ne te laisse pas dévorer, fais-toi déguster, on n'en laissera aucune miette.
A bientôt,
Les fantasmes