- 18 mars 2023, 16:55
#2698946
Juillet 2021, Excitation-frustration. Suite 1
Je retourne dans la chambre, je me sens tout bizarre, fébrile, en sueur. Je marche de long en large en me demandant ce qu’ils font. Comme si je ne le savais pas, ce qu’ils font. Ils doivent bien en profiter ! Je ferme les yeux et aussitôt une image me vient à l’esprit. Marine en train de gémir sous ses coups de queue. Je suis sûr qu’elle en redemande... J’ai de nouveau cette sensation d’étouffer, la gorge serrée. C’est terrible d’imaginer sans vraiment savoir. Dormir et attendre le matin pour avoir des nouvelles ? Je m’allonge, une fois de plus et pour m’occuper l’esprit, je me remémore le début de la soirée.
19h, coup de fil de Marine :
_ Coucou mon chéri. Je suis arrivé. Il a loué un truc de fou, Pascal. Je ne savais pas qu’il y avait ce genre de chose dans la région. J’aurai trop voulu que tu sois là pour voir ça ! Une grande salle au sommet d’un immeuble. Avec une grande baie vitrée qui s’ouvre sur une sorte de toit terrasse qui surplombe la rue. On se croirait dans le sud ! Il y a même des tables avec des bancs dehors. On peut faire le tour de la salle, il y a comme un grand balcon tout autour.
_ Ben profites en bien ma poule. Vous êtes nombreux ?
_ Tout le monde n’est pas encore arrivé, j’ai cru comprendre qu’on serait une bonne quarantaine. Je ne voudrais pas payer la note !
_ Fab est là ?
_ Non, pas encore arrivé. Bon je te laisse, on me fait signe de venir pour boire un coup. Je t’enverrai des photos de l’endroit, c’est vraiment trop chouette !
Les photos étaient arrivées, un peu plus tard, sur mon téléphone, en cascade. C’est vrai que le concept semblait original.
19h45, message de Fabien :
_ Salut Pat !
_ Salut Fab, tu es enfin arrivé ?
_ Oui, j’ai eu du mal à trouver l’endroit. C’est très surprenant cette salle.
_ Oui je sais, Marine m’a déjà raconté. Elle m’a envoyé des photos.
_ Ok. Elle t’a dit comment elle était habillée ?
_ Ah non, ça, elle ne m’en a pas parlé...
_ Elle porte une petite robe noire que tu dois connaitre sans doute... Elle est canon !
_ Oui, je vois la robe, elle lui va hyper bien. Elle doit être bandante, non ?
_ Pfff tu m’étonnes. Si je te dis que j’ai déjà envie de la baiser, tu me crois ?
_ Tu vas devoir attendre un peu...Et merde, j’ai trop envie d’être avec vous, ça me gonfle d’être coincé là.
_ T’inquiètes pas, tu sauras tout ! Promis ! Bon, j’espère qu’elle sera d’accord... Elle en aura peut-être pas envie ! C’est con, je flippe comme si c’était un premier rancard !
_ Pfff je la connais, elle a du y penser toute la journée vu ce que je lui ai dit ce matin.
_ On verra bien, en attendant, je vais la rejoindre pour picoler un peu. Je crois, qu’elle a pris de l’avance. Dès qu’il se passe un truc, je te tiens au courant...
Puis il y avait eu une longue période sans nouvelles durant laquelle j’avais tourné en rond comme un lion dans sa cage.
23h12, message de Fabien :
_ Je suppose qu’elle ne s’est pas faite prier ?
_ Pas du tout. C’est dingue, je tremble de partout. Elle me fait vraiment envie. Je sais pas toi mais moi je bande comme un taré.
_ Il y a beaucoup de monde autour de vous ?
_ Pas mal, oui.
_ Ca doit être encore plus excitant ! J’aurai adoré ça... ça me gonfle, tu peux pas savoir.
_ Allez, à toute, je te bip dès qu’il se passe un truc.
De nouveau l’attente qui avait duré, duré... Le temps qui s’écoulait trop lentement. L’imagination qui s’emballait.
23h34, nouveau message de Fabien :
_ Elle est partie aux toilettes. Elle m’a proposé qu’à son retour, on aille voir dehors si c’est pas plus calme. Tu crois qu’elle a envie de quelle que chose ?
_ Très possible... Si vous trouvez un coin un peu isolé, demandes lui de te montrer ce qu’elle cache sous sa robe. Je suis sûr qu’elle ne dira pas non. Surtout qu’elle sait que tu me feras passer les photos... Elle doit être chaude vu ce qu’elle t’a dit tout à l’heure...
_ Tu dois me trouver con, je me sens incapable de prendre l’initiative. Le fait de se trouver avec plein de gens autour de nous, c’est hyper excitant mais ça me fait flipper un peu aussi. En tous cas, elle a l’air beaucoup plus à l’aise que moi !
_ Laisse faire, suis-la et tiens moi au courant.
_ Ok... Je lui demanderai.
0h10
J’avais l’impression de perdre l’équilibre tant je flageolais sur mes jambes. Fab avait raison, ma coquine se lâchait totalement. Putain que j’étais con d’avoir proposé ce truc ! L’excitation extrême provoquait une sensation douloureuse dans mon bas-ventre, dans mes testicules. Il fallait que je me soulage... J’étais allé dans la salle de bain devant le même lavabo et je m’étais branlé en imaginant ma coquine, cuisse ouverte, mouillant d’excitation devant Fabien. Elle lui avait demandé qu’il lui montre sa bite. Elle devait avoir terriblement envie de le sentir en elle... Quelle salope ! Et j’avais joui, je m’étais vidé en longs jets blancs, aspergeant, une fois de plus, le lavabo et ses robinets.
Machinalement, je regarde pour la énième fois ma montre, 2h15, presque 2h depuis le dernier message. Peut-être qu’ils n’ont pas pu s’isoler... Peut-être qu’ils ont attendu la fin de la réception... Et après, le temps de trouver un coin tranquille, dans la voiture peut-être, dans un chemin, sur l’herbe... Il faut du temps pour tout ça ! J’imagine Marine ? sur le dos, couchée dans l’herbe, cuisses ouvertes. Fabien en train de la prendre bien profondément...
Je sens la sueur couler sous mes bras et ce truc qui ressemble à de l’angoisse qui me rend dingue. Il faut que je me vide la tête, c’est pas possible ! Je m’oblige à respirer profondément, les yeux fermés.
Je me dis que c’est la dernière fois, j’ai voulu voir, c’est bon, j’ai vu, fini ce genre de connerie. Une sonnerie dans mes oreilles, je bondis hors du lit.
Je retourne dans la chambre, je me sens tout bizarre, fébrile, en sueur. Je marche de long en large en me demandant ce qu’ils font. Comme si je ne le savais pas, ce qu’ils font. Ils doivent bien en profiter ! Je ferme les yeux et aussitôt une image me vient à l’esprit. Marine en train de gémir sous ses coups de queue. Je suis sûr qu’elle en redemande... J’ai de nouveau cette sensation d’étouffer, la gorge serrée. C’est terrible d’imaginer sans vraiment savoir. Dormir et attendre le matin pour avoir des nouvelles ? Je m’allonge, une fois de plus et pour m’occuper l’esprit, je me remémore le début de la soirée.
19h, coup de fil de Marine :
_ Coucou mon chéri. Je suis arrivé. Il a loué un truc de fou, Pascal. Je ne savais pas qu’il y avait ce genre de chose dans la région. J’aurai trop voulu que tu sois là pour voir ça ! Une grande salle au sommet d’un immeuble. Avec une grande baie vitrée qui s’ouvre sur une sorte de toit terrasse qui surplombe la rue. On se croirait dans le sud ! Il y a même des tables avec des bancs dehors. On peut faire le tour de la salle, il y a comme un grand balcon tout autour.
_ Ben profites en bien ma poule. Vous êtes nombreux ?
_ Tout le monde n’est pas encore arrivé, j’ai cru comprendre qu’on serait une bonne quarantaine. Je ne voudrais pas payer la note !
_ Fab est là ?
_ Non, pas encore arrivé. Bon je te laisse, on me fait signe de venir pour boire un coup. Je t’enverrai des photos de l’endroit, c’est vraiment trop chouette !
Les photos étaient arrivées, un peu plus tard, sur mon téléphone, en cascade. C’est vrai que le concept semblait original.
19h45, message de Fabien :
_ Salut Pat !
_ Salut Fab, tu es enfin arrivé ?
_ Oui, j’ai eu du mal à trouver l’endroit. C’est très surprenant cette salle.
_ Oui je sais, Marine m’a déjà raconté. Elle m’a envoyé des photos.
_ Ok. Elle t’a dit comment elle était habillée ?
_ Ah non, ça, elle ne m’en a pas parlé...
_ Elle porte une petite robe noire que tu dois connaitre sans doute... Elle est canon !
_ Oui, je vois la robe, elle lui va hyper bien. Elle doit être bandante, non ?
_ Pfff tu m’étonnes. Si je te dis que j’ai déjà envie de la baiser, tu me crois ?
_ Tu vas devoir attendre un peu...Et merde, j’ai trop envie d’être avec vous, ça me gonfle d’être coincé là.
_ T’inquiètes pas, tu sauras tout ! Promis ! Bon, j’espère qu’elle sera d’accord... Elle en aura peut-être pas envie ! C’est con, je flippe comme si c’était un premier rancard !
_ Pfff je la connais, elle a du y penser toute la journée vu ce que je lui ai dit ce matin.
_ On verra bien, en attendant, je vais la rejoindre pour picoler un peu. Je crois, qu’elle a pris de l’avance. Dès qu’il se passe un truc, je te tiens au courant...
Puis il y avait eu une longue période sans nouvelles durant laquelle j’avais tourné en rond comme un lion dans sa cage.
23h12, message de Fabien :
_ Je suppose qu’elle ne s’est pas faite prier ?
_ Pas du tout. C’est dingue, je tremble de partout. Elle me fait vraiment envie. Je sais pas toi mais moi je bande comme un taré.
_ Il y a beaucoup de monde autour de vous ?
_ Pas mal, oui.
_ Ca doit être encore plus excitant ! J’aurai adoré ça... ça me gonfle, tu peux pas savoir.
_ Allez, à toute, je te bip dès qu’il se passe un truc.
De nouveau l’attente qui avait duré, duré... Le temps qui s’écoulait trop lentement. L’imagination qui s’emballait.
23h34, nouveau message de Fabien :
_ Elle est partie aux toilettes. Elle m’a proposé qu’à son retour, on aille voir dehors si c’est pas plus calme. Tu crois qu’elle a envie de quelle que chose ?
_ Très possible... Si vous trouvez un coin un peu isolé, demandes lui de te montrer ce qu’elle cache sous sa robe. Je suis sûr qu’elle ne dira pas non. Surtout qu’elle sait que tu me feras passer les photos... Elle doit être chaude vu ce qu’elle t’a dit tout à l’heure...
_ Tu dois me trouver con, je me sens incapable de prendre l’initiative. Le fait de se trouver avec plein de gens autour de nous, c’est hyper excitant mais ça me fait flipper un peu aussi. En tous cas, elle a l’air beaucoup plus à l’aise que moi !
_ Laisse faire, suis-la et tiens moi au courant.
_ Ok... Je lui demanderai.
0h10
J’avais l’impression de perdre l’équilibre tant je flageolais sur mes jambes. Fab avait raison, ma coquine se lâchait totalement. Putain que j’étais con d’avoir proposé ce truc ! L’excitation extrême provoquait une sensation douloureuse dans mon bas-ventre, dans mes testicules. Il fallait que je me soulage... J’étais allé dans la salle de bain devant le même lavabo et je m’étais branlé en imaginant ma coquine, cuisse ouverte, mouillant d’excitation devant Fabien. Elle lui avait demandé qu’il lui montre sa bite. Elle devait avoir terriblement envie de le sentir en elle... Quelle salope ! Et j’avais joui, je m’étais vidé en longs jets blancs, aspergeant, une fois de plus, le lavabo et ses robinets.
Machinalement, je regarde pour la énième fois ma montre, 2h15, presque 2h depuis le dernier message. Peut-être qu’ils n’ont pas pu s’isoler... Peut-être qu’ils ont attendu la fin de la réception... Et après, le temps de trouver un coin tranquille, dans la voiture peut-être, dans un chemin, sur l’herbe... Il faut du temps pour tout ça ! J’imagine Marine ? sur le dos, couchée dans l’herbe, cuisses ouvertes. Fabien en train de la prendre bien profondément...
Je sens la sueur couler sous mes bras et ce truc qui ressemble à de l’angoisse qui me rend dingue. Il faut que je me vide la tête, c’est pas possible ! Je m’oblige à respirer profondément, les yeux fermés.
Je me dis que c’est la dernière fois, j’ai voulu voir, c’est bon, j’ai vu, fini ce genre de connerie. Une sonnerie dans mes oreilles, je bondis hors du lit.