Cette année-là, au début du mois de septembre, nous participâmes comme invités à une fête d’anniversaire ; il y avait une foule d’amis mais aussi de gens inconnus de nous. Comme souvent après dîner nous nous séparions en fonction de nos affinités. Je participais à des discussions passionnées avec un spécialiste sur la culture de l’olivier, étant un modeste producteur d’huile ; quant à Victoire, elle avait disparu de ma vue et je ne m’en souciais guère. Il fut tard et l’envie de rentrer me poussa à partir à sa recherche. Notre hôtesse m’arrêta en me prenant le bras et me dit dans un souffle : « tu cherches Victoire ?, je sais où elle est, mais laisse-la, rentre chez toi, elle va dormir ici, je te la ramènerai demain »… Je m’inquiétai, s’est-elle sentie mal, a-t-elle trop bu ? « Rien, ne t’inquiète pas pour sa santé, elle va très bien, elle est avec quelqu’un, pas besoin de te faire un dessin ! » Je rentrai seul, me demandant avec qui elle était et si elle s’envoyait en l’air..
Notre hôte me la ramena le lendemain midi : inutile de me donner des explications, ce qu’elle avait fait se lisait sur son visage ! « Ah mon chéri, quelle nuit ! » dit-elle après avoir remercié notre amie et refermé la porte. « Ça s’est passé ? » lui demandais-je..« A ton avis ?.. je vais vite prendre une douche, après je te raconterai ». Ne la laissant pas seule je pris la douche avec elle afin d’examiner son corps et ses parties intimes. « Oui, je sais j’aurais pu te le dire mais tout a été si vite ! » Plaquant la main dans son entrejambe gluant de sperme, des restes s’écoulaient de son vagin encore béant. « Il t’a baisée combien de fois pour t’avoir injecté une telle quantité ? » Elle ne savait pas au juste, plusieurs fois sûrement, dit-elle, mais elle avait mal au cul car pour la première fois j’ai été pénétrée par là ! Paraît qu’on a fait beaucoup de bruit, j’ai un peu honte.. Je lui dis de me raconter tout depuis le début.
Elle avait longuement parlé avec un groupe de jeunes, et particulièrement avec un jeune homme très beau, jeune médecin, célibataire, avec qui elle avait sympathisé. Elle avoua avoir été séduite, lui-même n’étant pas indifférent au charme de Victoire. Le groupe s’étiola, Victoire et le jeune homme restant seuls à poursuivre leurs échanges de vues, fumant et buvant. Après avoir bu pas mal, les inhibitions sociales s’estompèrent, un rapprochement de corps eu lieu, leurs mains se rencontrèrent puis se mirent à parcourir leurs corps respectifs.. Il l’embrassa, lui caressa les seins au travers de son léger chemisier, découvrant qu’elle ne portait pas de soutif.. Elle décida d’accepter de se faire baiser par lui et tant pis pour moi, pensa-t-elle. Connaissant la vaste maison, elle l’entraîna dans une chambre et lui dit de l’attendre. Elle alla trouver l’hôtesse, notre amie, qui compris tout de suite de quoi il retournait. Elle rejoignit le jeune homme après avoir tourné la clé dans la serrure, ouvrit le lit et, l’y poussant, s’employa à le déshabiller. Il en fit autant avec elle de sorte qu’ils furent nus ensemble.. Elle le trouva beau, bronzé, une belle et bonne queue dressée légèrement courbée, un gland circoncis. « Je n’ai pas de préservatif » lui dit-il. « Mais je suis médecin et je suis « clean ». Elle l’écouta à peine se jetant sur ce gland qui n’attendait que ses lèvres. « Il m’a prise très vite, il me voulait, moi aussi ! » Il a joui trop vite, tirant une semence abondante qui rejaillit hors de son vagin ; elle n’avait pas eu le temps d’y arriver, mais en quelques minutes il avait redressé l’étendard et repartait à l’attaque. Cette fois il s’enfonça jusqu’au fond de son ventre, malmenant son utérus à force de coups de queue. Bien qu’elle eut un peu mal, elle sentit la jouissance approcher. Elle voulut le chevaucher, sa position favorite, il l’y aida et guidant de la main sa queue, trouva rapidement le vagin dégoulinant. Elle se laissa choir sur lui, son sexe s’enfonçant tout au fond de son ventre : elle gémit de plaisir. Il la baisa durement, longuement ; elle sentit que l’orgasme arrivait mais voulut faire durer encore le plaisir, attendre qu’il jouisse, alors elle se lâcherait. Il grogna comme un fauve en rut, elle sentit les saccades de son sexe éjaculant sa jeune semence dans son ventre.. alors l’orgasme vint avec toute sa puissance. Elle se laissa choir sur lui, comprimant ses seins sur son torse. Lui saisissant les tétons, il les pinça rudement, ce qui déclencha son orgasme et clamer son plaisir haut et fort. De son vagin s’écoulaient les surplus de semence. Elle se rendit à la salle de bain pour un rapide toilettage et revint auprès de lui, déjà prêt à une nouvelle cession ! Elle voulut faire une pose mais il était déchaîné. Il la mis sur le ventre et la pénétra, les cuisses serrées. Elle sentit son sexe frotter contre l’intérieur de ses cuisses puis trouver l’entrée de son vagin.. il fit alors une pose, puis s’enfonça brutalement en poussant un « han ! » puissant. Puis, la saisissant par les hanches il la mit en position de levrette. Tirant tant et plus ses hanches vers lui il la défonçait pendant qu’elle glapissait de plaisir ! Il lui disait qu’il aimait baiser les femmes mûres comme elle, qu’elle était le meilleur coup qu’il avait eu, il la trouvait sexy, sensuelle, excitante et en plus intelligente ! Tout ça ! Il ne put terminer: soudain il dit NOON !, poussa un cri rauque en lâchant les vannes, inondant son ventre d’une quantité inconnue de sperme. Il s’excusa d’avoir tiré trop vite, mais dit-il « tu m’excites trop fort »… Lui écartant les cuisses il se mit à lui faire un cuni, très habile et vif avec la langue, au point qu’il la fit à nouveau jouir vite et fort. Ils restèrent pantelant, côte à côte sur le lit. Il s’inquiéta de son mari, n’allait-il pas la chercher ? Elle lui dit qu’il avait l’habitude des écarts sexuels de sa femme, qu’il les acceptait. Elle avait parlé à notre amie l’hôtesse, et elle le préviendrait ; on pouvait rester ici toute la nuit…Ils se plaisaient l’un l’autre, il l’embrassa sur tout le corps, lui mordilla les tétons ce qui la toujours fort excitée.. Il lui parla de la prendre dans son petit trou des reins, mais réticente elle lui dit que cela m’était réservé, ajoutant : « quoique !... » Elle en eut soudain envie ! Elle le lui dit. Il l’entraîna à la salle de bain et la prépara : il la mit dans la baignoire puis dévissant la pomme de douche, réglant la bonne température, il introduisit le tube dans son petit trou et remplit son ventre d’eau tiède. Son ventre gonfla comme si elle était enceinte ! En le retirant elle se vida d’une eau teintée, puis recommençant l’opération trois fois, son intérieur fut propre, prêt à être visité par son sexe. Etendant une serviette éponge, il l’allongea sur le ventre, écarta les cuisses, et enduisant l’entrée d’un peu de lait de douche Biotherm, il la pénétra difficilement. Il s’y repris plusieurs fois, après avoir massé des doigts l’entrée avec douceur, enfin ayant introduit son gland, le reste suivit sans peine, s’enfonçant jusqu’à ce que ses testicules battent son fondement. Jamais elle n’avait encore été pénétrée par là ! Elle sentit ce corps étranger aller et venir, lui procurant un plaisir nouveau, inconnu. Elle sentit qu’elle pourrait facilement atteindre l’orgasme. Il s’enhardit en s’enfonçant tant et plus, tout en introduisant plusieurs doigts dans son vagin. Elle sentit le plaisir monter, un plaisir différent de celui ressenti dans son vagin et elle rêva qu’elle aimerait qu’une vraie queue s’y enfonça en même temps, plutôt que des doigts : une devant et une derrière.. Cette idée fit monter le plaisir au point qu’elle sentit la jouissance toute proche. Lui aussi approchait, il lui demanda si elle aussi y arrivait.. mais elle n’eût pas le temps de répondre autrement que par un glapissement aigu et rageur… lui aussi jouit tout en gueulant, se vidant abondamment dans ses reins. Elle lui demanda de la reprendre dans sa fente pour prolonger sa jouissance. Il alla rapidement laver l’engin et revenant, il lui demanda de le branler de la main pour qu’il raidisse plus vite ; « un jeune, ça récupère vite, pas comme nous les vieux ! » lui dit Victoire.. Il fut d’attaque en quelques minutes et plongea en elle. Elle put reprendre la progression du plaisir, sentit qu’il accélérait les va et vient, et soudain elle se sentit défaillir alors que l’orgasme la submergeait. Elle n’en pouvait plus et s’endormit. Elle sentit que son amant d’un soir l’embrassait en lui couvrant le corps pour qu’elle ne prenne pas froid. Quand elle se réveilla, elle était seule.. le prince charmant avait disparu ! Notre amie compréhensive la rejoignit dans la chambre, elles parlèrent de ce qu’elle avait vécu avec ce jeune homme dont elle ne connaissait pas le nom, seulement le prénom : M... Elle lui confia qu’ils avaient fait beaucoup de bruit, que ça s’était entendu.. Elle lui remit une carte de visite avec son nom et tout. Elles prirent ensemble un petit déjeuner, ensuite la reconduisit à la maison.
« Tu as l’intention de le revoir » demandais-je ? Elle ne savait pas, c’était trop tôt et puis il doit sûrement avoir une petite amie de son âge, il n’a que vingt neuf ans, la moitié de son âge ! « Peut-être après tout, s’il veut bien encore de moi, je crois bien qu’il a eu beaucoup de plaisir en me prenant, moi aussi du reste ! »
Cette aventure ressemblait fort à celle vécue par elle des années plus tôt, lorsqu’elle avait même perdu son soutif et sa petite culotte, subtilisés par celui qui l’avait baisée, lors d’une soirée arrosée chez des amis. En allant les récupérer chez lui, ils en avaient profité pour recoquiner!
Journal
Jeudi 16 septembre
Paraît qu’elle l’a rencontré à une soirée chez des amis.. ils se sont bien plus, l’ont fait toute la nuit et elle est revenue que le matin ! Il est beaucoup plus jeune qu’elle, c’est un docteur il a 29 !..
Et D.. est rentré seul chez lui, la queue entre les jambes en la laissant passer la nuit là! Il m’a raconté, j’ai demandé comment il avait ressenti ça, si il n’avait pas envie de venir se consoler avec moi.. Mais non, il était cool ! Ça lui rappelait les années soixante quinze quand Victoire s’envoyait P.. , ses amis et les siens .. Il dit que tant qu’elle en a encore envie, qu’elle en profite parce que ça ne sera pas éternel !
Mardi 21
Mon chéri est venu passer la nuit avec moi pendant que Victoire est partie à Londres. Je lui ai fait à dîner. On a regardé un film à la télé puis j’ai fait couler un bain qu’on a pris ensemble. J’aime bien être dans l’eau avec lui, le tripoter, jouer avec sa queue quand elle est pas trop dure.. Puis je me mets entre ses jambes, je m’adosse à son corps, alors il peut me caresser les seins, le ventre, passer les doigts entre mes lèvres, j’aime bien..
Après on fait l’amour, c’est bon, puis je m’endors dans ses bras. Au réveil, j’aime lui porter un petit dèj’ au lit. On est comme un vrai couple, mais ça dure pas longtemps, dommage. Je serais bien restée au lit avec lui mais après il ne tient plus en place, il doit «agir», et s’en va!
Samedi 1er octobre
Mon chéri est venu me voir l’après-midi pendant que Victoire fait les boutiques. Il m’a dit qu’elle veut se nipper genre chic pour partir une semaine avec son nouvel amant docteur, il l’emmène à Lisbonne à un « kolok » comme si elle était sa secrétaire !
Ça m’arrange, je vais l’avoir pour moi toute seule, hi hi ! 